Il n’y a pas malheureusement que les consommateurs d’énergie qui « volent ».
Depuis quelque temps, des rumeurs circulent sur l’existence de factures dont le montant était gonflé de manière injustifiée et qui n’ont été remises au consommateur que trois mois après le dernier paiement.
Une situation d’autant plus louche que l’EDL, qui est secondée par des sociétés de collecte de fonds, établit ses factures chaque mois ou tous les deux mois selon les quartiers. Interrogé, un fonctionnaire de l’EDL explique que la tournée des percepteurs avec un mois de retard est « exceptionnelle », surtout en été, une période où les fonctionnaires prennent leur congé. Toutefois, cela ne justifie pas le montant faramineux de ces factures.
C’est une autre réponse que l’on obtiendra toutefois d’une seconde source de l’EDL, qui affirme que ces « anomalies » ont effectivement eu lieu à plusieurs reprises dans certaines régions, où la relève n’est pas dissociée de l’encaissement, notamment à Beyrouth. Concrètement, les percepteurs touchent une commission sur le montant encaissé.
Ainsi, plus la facture est élevée, plus leur commission devient juteuse. Comme le prix du kWh augmente avec l’accroissement de la consommation (35 LL pour la première tranche de 100 kWh, 55 LL de 100 à 300 kWh, 80 LL de 300 à 400 kWh, 120 LL de 400 à 500 kWh et 200 LL au-delà), au lieu de calculer la facture sur la base du nombre de kWh consommés en deux mois, « les encaisseurs l’augmentent artificiellement en retenant celle consommée sur trois mois et facturent le surplus au prix le plus fort », explique l’expert.
Depuis quelque temps, des rumeurs circulent sur l’existence de factures dont le montant était gonflé de manière injustifiée et qui n’ont été remises au consommateur que trois mois après le dernier paiement.
Une situation d’autant plus louche que l’EDL, qui est secondée par des sociétés de collecte de fonds, établit ses factures chaque mois ou tous les deux mois selon les quartiers. Interrogé, un fonctionnaire de l’EDL explique que la tournée des percepteurs avec un mois de retard est « exceptionnelle », surtout en été, une période où les fonctionnaires prennent leur congé. Toutefois, cela ne justifie pas le montant faramineux de ces factures.
C’est une autre réponse que l’on obtiendra toutefois d’une seconde source de l’EDL, qui affirme que ces « anomalies » ont effectivement eu lieu à plusieurs reprises dans certaines régions, où la relève n’est pas dissociée de l’encaissement, notamment à Beyrouth. Concrètement, les percepteurs touchent une commission sur le montant encaissé.
Ainsi, plus la facture est élevée, plus leur commission devient juteuse. Comme le prix du kWh augmente avec l’accroissement de la consommation (35 LL pour la première tranche de 100 kWh, 55 LL de 100 à 300 kWh, 80 LL de 300 à 400 kWh, 120 LL de 400 à 500 kWh et 200 LL au-delà), au lieu de calculer la facture sur la base du nombre de kWh consommés en deux mois, « les encaisseurs l’augmentent artificiellement en retenant celle consommée sur trois mois et facturent le surplus au prix le plus fort », explique l’expert.
Il n’y a pas malheureusement que les consommateurs d’énergie qui « volent ».Depuis quelque temps, des rumeurs circulent sur l’existence de factures dont le montant était gonflé de manière injustifiée et qui n’ont été remises au consommateur que trois mois après le dernier paiement.Une situation d’autant plus louche que l’EDL, qui est secondée par des sociétés...
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