Après la ferme réaction de la Banque du Liban à la crise de liquidités de la banque al-Madina, le parquet de la Cour de cassation est sur le point d’entrer en scène. Le procureur général Adnan Addoum a en effet demandé à la Commission de contrôle des banques de lui communiquer le dossier de la banque en difficulté qui justifie la levée du secret bancaire sur un certain nombre de propriétaires responsables de l’établissement de crédit. L’émission de chèques sans provision, le vol de fonds bancaires transférés d’une banque à l’autre, les plaintes déposées par l’administrateur provisoire contre certains des propriétaires de la banque pour des violations du Code de la monnaie et du crédit (falsification des comptes, comptes fictifs, etc.), sont autant d’actes qui tombent sous le coup de la loi, a-t-il déclaré.
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Après la ferme réaction de la Banque du Liban à la crise de liquidités de la banque al-Madina, le parquet de la Cour de cassation est sur le point d’entrer en scène. Le procureur général Adnan Addoum a en effet demandé à la Commission de contrôle des banques de lui communiquer le dossier de la banque en difficulté qui justifie la levée du secret bancaire sur un certain...
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