Washington a jeté hier tout son poids dans la balance pour sauver la trêve conclue entre Israël et les Palestiniens et donner une nouvelle impulsion à la « feuille de route », dont l’application bute sur une série d’obstacles.
La présidence du Conseil en Israël a, en effet, annoncé hier que la visite du Premier ministre Ariel Sharon à Washington, initialement prévue pour le mois de septembre, avait été avancée à fin juillet, à la demande de la Maison-Blanche. La radio publique israélienne a par ailleurs annoncé que le Premier ministre palestinien Mahmoud Abbas doit, lui aussi, être invité à la Maison-Blanche vers la fin du mois d’août.
La démarche US intervient alors que le plan de paix continue de buter sur les questions du retrait de l’armée de l’occupation des villes de Cisjordanie et des prisonniers palestiniens détenus dans les geôles israéliennes. À ce propos, des centaines de détenus ont entamé hier une grève de la faim pour qu’Israël libère des membres du Hamas et du Jihad islamique, alors que trois mille Palestiniens manifestaient à Gaza pour la libération de tous les prisonniers, menaçant de kidnapper des soldats israéliens si leurs demandes n’étaient pas satisfaites.
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La présidence du Conseil en Israël a, en effet, annoncé hier que la visite du Premier ministre Ariel Sharon à Washington, initialement prévue pour le mois de septembre, avait été avancée à fin juillet, à la demande de la Maison-Blanche. La radio publique israélienne a par ailleurs annoncé que le Premier ministre palestinien Mahmoud Abbas doit, lui aussi, être invité à la Maison-Blanche vers la fin du mois d’août.
La démarche US intervient alors que le plan de paix continue de buter sur les questions du retrait de l’armée de l’occupation des villes de Cisjordanie et des prisonniers palestiniens détenus dans les geôles israéliennes. À ce propos, des centaines de détenus ont entamé hier une grève de la faim pour qu’Israël libère des membres du Hamas et du Jihad islamique, alors que trois mille Palestiniens manifestaient à Gaza pour la libération de tous les prisonniers, menaçant de kidnapper des soldats israéliens si leurs demandes n’étaient pas satisfaites.
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Washington a jeté hier tout son poids dans la balance pour sauver la trêve conclue entre Israël et les Palestiniens et donner une nouvelle impulsion à la « feuille de route », dont l’application bute sur une série d’obstacles.La présidence du Conseil en Israël a, en effet, annoncé hier que la visite du Premier ministre Ariel Sharon à Washington, initialement prévue pour...
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