À la suite de notre article sur la corruption (édition du 10 juillet), le ministre d’Etat pour la Réforme administrative, Karim Pakradouni, nous prie de préciser qu’il « adhère sans hésitation » à la réforme entreprise par le général Fouad Chéhab, « qui émanait du concept de l’État providence ». « Néanmoins, ajoute M. Pakradouni, il est temps de réviser ces structures », en particulier « pour favoriser la coopération du secteur privé dans le domaine public, assainir la transparence et assurer la justice sociale. » Selon le ministre, en ce début du XXIe siècle, il faudrait au Liban une grande réforme analogue à celle que le président Chéhab a entreprise dans les années 1960.
À la suite de notre article sur la corruption (édition du 10 juillet), le ministre d’Etat pour la Réforme administrative, Karim Pakradouni, nous prie de préciser qu’il « adhère sans hésitation » à la réforme entreprise par le général Fouad Chéhab, « qui émanait du concept de l’État providence ». « Néanmoins, ajoute M. Pakradouni, il est temps de réviser ces...
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