À la différence de la France, qui souhaite que l’Europe joue un rôle parallèle à celui des États-Unis, mais distinct de lui, en se chargeant d’une « feuille de route » -bis au profit du volet libano-syrien, l’Italie est favorable au maintien du quartette comme « cadre institutionnel » pour le processus de paix, tout en insistant sur la nécessité d’associer, à un moment ou un autre, Beyrouth et Damas aux efforts en cours.
C’est ce que le ministre italien des Affaires étrangères, Franco Frattini, est venu dire hier aux dirigeants libanais, à quelques semaines de la prise en charge par son pays de la présidence de l’Union européenne.
Selon Baabda, M. Frattini, qui a été reçu notamment par le président Émile Lahoud, a d’autre part promis une enveloppe d’aide au Liban d’un total de 140 millions d’euros comme preuve de « la grande confiance de l’Italie dans l’avenir économique du Liban ».
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À la différence de la France, qui souhaite que l’Europe joue un rôle parallèle à celui des États-Unis, mais distinct de lui, en se chargeant d’une « feuille de route » -bis au profit du volet libano-syrien, l’Italie est favorable au maintien du quartette comme « cadre institutionnel » pour le processus de paix, tout en insistant sur la nécessité d’associer, à un...
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