Le Premier ministre, Rafic Hariri, a profité de sa participation à la conférence sur le développement de Beyrouth, qui s’est tenue hier à l’Escwa, pour se lancer dans un vibrant plaidoyer pro domo, avec moult chiffres à l’appui, sur les expropriations. Insistant sur sa volonté de ne pas polémiquer, il a notamment expliqué que si les coûts des expropriations visant à la construction d’écoles à Beyrouth sont élevés, « c’est parce que le prix du mètre carré est lui-même élevé » dans la capitale, et rappelé que sur les 300 millions liés à l’ensemble du projet, 60 millions uniquement reviennent à la ville dont il est le député.
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Le Premier ministre, Rafic Hariri, a profité de sa participation à la conférence sur le développement de Beyrouth, qui s’est tenue hier à l’Escwa, pour se lancer dans un vibrant plaidoyer pro domo, avec moult chiffres à l’appui, sur les expropriations. Insistant sur sa volonté de ne pas polémiquer, il a notamment expliqué que si les coûts des expropriations visant à la...
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