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Actualités

Boueiz, ministre de l’Environnement « régional »(photo)

Quand un ministre est mécontent dès le départ des responsabilités qui lui ont été confiées, il lui est toujours possible de piétiner sans état d’âme les platebandes de ses collègues, l’essentiel étant de savoir trouver les arguments qu’il faut. L’exemple du nouveau ministre de l’Environnement, Farés Boueiz, est patent. En effet, ce dernier a quand même trouvé moyen de discuter hier de diplomatie, de ressources hydrauliques, de la « feuille de route » et de la visite du secrétaire d’État Colin Powell à Beyrouth, lors d’un entretien avec l’ambassadeur des États-Unis, Vincent Battle. Et pourtant celui-ci était venu chez M. Boueiz dans la ferme intention d’évoquer la réalisation d’un certain nombre de projets écologiques dans plusieurs localités libanaises. Mais c’est méconnaître la tenacité et l’obstination du ministre de l’Environnement qui ne s’est jamais vraiment consolé d’avoir été privé du portefeuille des Affaires étrangères. De fait, dans une déclaration à la presse au terme de sa réunion avec le diplomate US, M. Boueiz a estimé que son ministère était d’autant plus concerné par l’avenir de la « feuille de route » que l’eau fait partie des nombreux problèmes de la région... J.J.
Quand un ministre est mécontent dès le départ des responsabilités qui lui ont été confiées, il lui est toujours possible de piétiner sans état d’âme les platebandes de ses collègues, l’essentiel étant de savoir trouver les arguments qu’il faut. L’exemple du nouveau ministre de l’Environnement, Farés Boueiz, est patent. En effet, ce dernier a quand même trouvé...