Rechercher
Rechercher

Actualités

Issa el-Khoury : Il aurait été préférable de maintenir le cabinet sortant

Le président du Rassemblement parlementaire de concertations (RPC), Kabalan Issa el-Khoury, n’a pas caché son amertume au sujet de la constitution du nouveau gouvernement. À l’issue d’un entretien avec le patriarche maronite, le cardinal Nasrallah Sfeir, à Bkerké, M. Issa el-Khoury a souligné qu’« après les dernières prises de position du patriarche Sfeir, nous aurions souhaité que le nouveau gouvernement ne soit pas une copie conforme du cabinet sortant ». M. Issa el-Khoury a été reçu par Mgr Sfeir en compagnie des ministres Sleiman Frangié et Khalil Hraoui et des députés Gebrane Tok, Nader Succar, Émile Émile Lahoud, Nazem Khoury, Fayez Ghosn et César Moawad. À l’issue de la réunion, M. Issa el-Khoury a déclaré : « Nous n’avons pas été surpris par les récentes prises de position du patriarche qui, aujourd’hui plus que jamais, s’est tenu aux côtés de la Syrie alors que celle-ci est la cible de menaces dans les circonstances présentes. À la lumière de l’attitude adoptée par le patriarche, nous nous attendions tous à ce que le nouveau gouvernement ne soit pas une copie conforme du précédent cabinet qui est responsable de la situation économique et financière dans laquelle nous nous trouvons. Nous avions espéré qu’avec le nouveau gouvernement, toutes les parties puissent avoir le sentiment que le cabinet a pour but d’unifier les rangs internes. Mais malheureusement, nous avons rouvert les plaies que nous avions essayé de panser. » En conclusion, M. Issa el-Khoury a déclaré qu’« il aurait été préférable de garder en place le cabinet sortant au lieu de rouvrir les plaies ».
Le président du Rassemblement parlementaire de concertations (RPC), Kabalan Issa el-Khoury, n’a pas caché son amertume au sujet de la constitution du nouveau gouvernement. À l’issue d’un entretien avec le patriarche maronite, le cardinal Nasrallah Sfeir, à Bkerké, M. Issa el-Khoury a souligné qu’« après les dernières prises de position du patriarche Sfeir, nous aurions...