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Actualités

Université libanaise Remise de diplômes à 148 étudiants de l’Institut des beaux-arts (photo)

Sous l’égide du Premier ministre, Rafic Hariri, représenté par le ministre de l’Information, Ghazi Aridi, 148 étudiants des quatre sections de l’Institut des beaux-arts de l’Université libanaise (UL) ont reçu leur diplôme de fin d’études au cours d’une cérémonie organisée au palais de l’Unesco. Étaient notamment présents le député Mohammed Hajjar, le président de l’UL, Ibrahim Kobeissi, le doyen de l’Institut des beaux-arts (IBA), Hachem el-Ayoubi, les présidents des Ordres des ingénieurs de Beyrouth et du Liban-Nord, ainsi que les doyens des différentes sections de l’IBA, les professeurs et de nombreuses personnalités. Dans une allocution, le président de l’Association des anciens de l’IBA, Hiami el-Raï, a rappelé les étapes par lesquelles est passée la fondation de l’association insistant sur ses buts et sur la nécessité de la coopération pour bâtir une meilleure société. De son côté, le représentant de l’IBA au Conseil de l’UL et directeur de la section 2 de l’IBA (Furn el-Chebback), Georges Abi Nader, a déclaré que 70 % des architectes sont diplômés de l’UL. « Il en est de même pour les décorateurs, les metteurs en scène et les acteurs dont les travaux sont diffusés sur nos petits écrans », a-t-il poursuivi. Et de conclure : « Nous œuvrons pour restituer à l’université et à ses professeurs leur indépendance. » Le doyen de l’IBA, Hachem el-Ayoubi, a pour sa part souligné que les responsables à l’IBA se sont fixé trois buts : « Consolider notre appartenance à l’IBA et à l’UL, relever le niveau de l’UL pour qu’elle ait le même niveau que les autres établissements et créer des opportunités de travail à nos étudiants. » Dans ce cadre, M. Ayoubi a noté que le conseil de l’UL et son président essaient d’élaborer des lois pour que l’IBA soit une société productive, dans le sens qu’il exécutera des projets de construction. D’ailleurs, des contrats ont été déjà signés avec plusieurs municipalités, notamment celles de Bourj-Hammoud et de Deir el-Ahmar. M. Kobeissi a rappelé que le droit à une université développée signifie le droit à un budget flexible qui permettrait aux étudiants de faire des recherches et à l’université d’acquérir des équipements modernes. Prenant la parole en dernier, M. Aridi, qui est lui-même diplômé de l’UL, a noté que la création d’une université qui réunirait les Libanais des différentes communautés et classes sociales avait été considérée comme un rêve. « On entend beaucoup de choses sur le niveau de l’UL, sur ses professeurs, sur l’anarchie qui y règne, sur ses mauvais équipements, sur l’abus de pouvoir, a-t-il déclaré. Peut-être que cela est vrai, mais l’UL renferme des capacités et des talents qui assument de très importantes responsabilités au Liban et dont nous sommes fiers. »
Sous l’égide du Premier ministre, Rafic Hariri, représenté par le ministre de l’Information, Ghazi Aridi, 148 étudiants des quatre sections de l’Institut des beaux-arts de l’Université libanaise (UL) ont reçu leur diplôme de fin d’études au cours d’une cérémonie organisée au palais de l’Unesco. Étaient notamment présents le député Mohammed Hajjar, le...