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IRAK - Des sources militaires russes prévoient une frappe US fin février Washington « contrarié » par la résistance franco-allemande

Chaque partie, dans la crise irakienne, s’est appliquée à jouer son rôle hier. Les États-Unis d’abord, qui, par la voix du président Bush, continuaient de paver le chemin vers la guerre. « Saddam Hussein ne désarme pas et n’en a pas l’intention », a déclaré George Bush alors que le chef d’état-major américain, le général Myers, révélait avoir décelé des « signes d’agitation au sein de l’équipe dirigeante irakienne ». Alimentant la tension, des sources militaires russes affirmaient que Washington pourrait frapper durant la deuxième quinzaine de février. Pendant ce temps, les experts poursuivaient les inspections, leur chef déplorant toutefois que Bagdad ne coopère toujours pas « activement » avec l’Onu. Les voix habituelles de l’apaisement ont également joué leur couplet, sans grande conviction toutefois du côté arabe, alors que s’ouvre aujourd’hui une réunion régionale sur la question à Istanbul. Plus volontaristes, Jacques Chirac et Gerhard Schröder ont, d’une même voix, réitéré leur détermination à trouver une issue pacifique à la crise. Des propos qui ont « contrarié » Colin Powell. PAGE 10
Chaque partie, dans la crise irakienne, s’est appliquée à jouer son rôle hier. Les États-Unis d’abord, qui, par la voix du président Bush, continuaient de paver le chemin vers la guerre. « Saddam Hussein ne désarme pas et n’en a pas l’intention », a déclaré George Bush alors que le chef d’état-major américain, le général Myers, révélait avoir décelé des «...