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Le bureau de Cardahi infirme les estimations des milieux haririens sur la rentabilité du GSM Cellullaire: un marché en or que l’on veut rafler à bas prix

L’opinion publique est en droit de réclamer des comptes aux responsables pour savoir ce qui se trame en coulisses au niveau de la privatisation du cellulaire. Car les faits sur ce plan sont édifiants. Alors que le gouvernement s’apprête à accorder deux licences d’exploitation du réseau GSM pour une période de 20 ans, le quotidien al-Moustakbal, propriété du Premier ministre, Rafic Hariri, a affirmé hier que l’exploitation du cellulaire enregistre des pertes de 100 000 dollars par mois depuis que l’Etat a pris le contrôle du secteur. Le ministère des Télécommunications a réfuté ces estimations, dénonçant la manipulation des chiffres et soulignant, tableaux à l’appui, que bien au contraire, les revenus de l’Etat ont augmenté de 20 millions de dollars par mois. Pour quelles raisons certains officiels s’emploient-ils ainsi à dévaloriser le marché de la téléphonie mobile au Liban alors que nul n’ignore que ce service est particulièrement juteux ? Cherche-t-on à déprécier ce marché en or afin de pouvoir le rafler à bas prix ? Le dossier est à nouveau grand ouvert.
L’opinion publique est en droit de réclamer des comptes aux responsables pour savoir ce qui se trame en coulisses au niveau de la privatisation du cellulaire. Car les faits sur ce plan sont édifiants. Alors que le gouvernement s’apprête à accorder deux licences d’exploitation du réseau GSM pour une période de 20 ans, le quotidien al-Moustakbal, propriété du Premier...