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Jisr : Le désaccord est acceptable à condition qu’il ne mène pas à l’inimitié

Le ministre de la Justice, Samir Jisr, a indiqué hier qu’une entente entre le chef de l’État, Émile Lahoud, et le Premier ministre, Rafic Hariri, « ne signifie pas nécessairement qu’ils doivent être constamment d’accord », estimant que le désaccord est « acceptable, à condition qu’il ne mène pas à l’inimitié ». Il a en outre indiqué qu’un éventuel changement de gouvernement est fonction de calculs et autres mécanismes « qui ne sont pas, pour l’instant, disponibles ». Pour Samir Jisr, c’est grâce à leur « sens des responsabilités et à leur souci du Liban » que les deux pôles de l’Exécutif « pourront éviter au pays un quelconque soubresaut ». En ce qui concerne la décision prise par son collègue des Télécommunications, Jean-Louis Cardahi, d’autoriser la rediffusion sur satellite de la NTV, le (très haririen) ministe de la Justice a estimé que son collègue « était censé s’en référer, au préalable, au Conseil des ministres ».
Le ministre de la Justice, Samir Jisr, a indiqué hier qu’une entente entre le chef de l’État, Émile Lahoud, et le Premier ministre, Rafic Hariri, « ne signifie pas nécessairement qu’ils doivent être constamment d’accord », estimant que le désaccord est « acceptable, à condition qu’il ne mène pas à l’inimitié ». Il a en outre indiqué qu’un éventuel...