La beauté du Liban-Sud réside essentiellement dans sa variété. Certes aucune étude approfondie n’a encore été entamée pour sonder le vaste éventail de son écosystème, mais il est aisé de s’en rendre compte par une simple observation. Une féerie de couleurs s’épanouit sous le soleil, allant du jaune éclatant au vert, en passant par une multitude de tons pastel semblant sortir tout droit d’une toile de peintre. Autant que les paysages naturels, les cultures offrent des images qu’on croyait réservées à la plaine de la Békaa. Des carrés de cultures différentes brisent la monotonie des vastes étendues. Longtemps après avoir quitté le Sud, des images trottent encore dans la tête : un minuscule bois de pins sur le versant d’une colline, des étendues de verdure qui s’arrêtent là où commence le bleu de la mer… et, pour clôturer le tout, un coucher de soleil unique en descendant des collines de Naqoura.
La beauté du Liban-Sud réside essentiellement dans sa variété. Certes aucune étude approfondie n’a encore été entamée pour sonder le vaste éventail de son écosystème, mais il est aisé de s’en rendre compte par une simple observation. Une féerie de couleurs s’épanouit sous le soleil, allant du jaune éclatant au vert, en passant par une multitude de tons pastel...
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