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Actualités - COMMUNIQUES ET DECLARATIONS

Processus de paix - Israël refuse de fournir des garanties écrites sur le Golan Clinton confiant : les négociations ne sont pas rompues

En dépit du refus opposé par Israël aux exigences de Damas qui avait réclamé «des garanties écrites» sur un retrait du Golan «jusqu’aux frontières de 1967», le président américain Bill Clinton s’est déclaré hier «très confiant» dans les chances d’un accord de paix entre l’État hébreu et la Syrie, en affirmant que le désaccord entre les deux pays était relativement limité. «Leurs divergences ne sont pas de l’ordre de 90 % mais plutôt de 10 %», a précisé M. Clinton, en ajoutant que les discussions «ne sont ni rompues ni gelées» et qu’il travaillait à résoudre les obstacles créés par les différences de priorité accordées par les protagonistes aux grands dossiers placés sur la table des négociations. M. Clinton a également souligné que malgré les difficultés actuelles, «Israël et la Syrie sont parfaitement conscients qu’ils ne parviendront à un accord de paix que s’ils tiennent compte de leurs préoccupations réciproques». Pour régler le différend, Damas et Tel-Aviv vont envoyer à Washington, selon le département d’État, des groupes d’experts «séparément et à des moments différents» afin de travailler sur un texte de sept pages dans lequel sont consignées les positions de chacune des deux parties. Il s’agit du fameux document remis par Clinton à Barak et Chareh à Shepherdstown et dont la publication par la presse avait compromis la bonne marche des pourparlers.
En dépit du refus opposé par Israël aux exigences de Damas qui avait réclamé «des garanties écrites» sur un retrait du Golan «jusqu’aux frontières de 1967», le président américain Bill Clinton s’est déclaré hier «très confiant» dans les chances d’un accord de paix entre l’État hébreu et la Syrie, en affirmant que le désaccord entre les deux pays était...