«Le Liban a besoin d’une campagne d’apaisement, d’une campagne à laquelle se joindrait l’ensemble de ses responsables religieux et politiques, de ses leaders, de ses penseurs, afin que tous comprennent qu’un seul mot est capable de mettre le feu aux poudres et qu’une prise de position irresponsable peut avoir des conséquences imprévisibles». C’est l’essentiel du prêche que cheikh Taha Sabounji a prononcé hier à Tripoli à la grande mosquée d’al-Mansouri en présence des notables de la ville dont notamment le ministre Négib Mikati, les députés Mohammed Safadi et Mohammed Kabbarah, l’ancien député Omar Meskaoui, le président du Conseil municipal de la ville Samir Chaarani, le juge chérié cheikh Malek Chaar, ainsi que le président de la ligue des moukhtars de la ville Bassem Assaf.
«Le Liban a besoin d’une campagne d’apaisement, d’une campagne à laquelle se joindrait l’ensemble de ses responsables religieux et politiques, de ses leaders, de ses penseurs, afin que tous comprennent qu’un seul mot est capable de mettre le feu aux poudres et qu’une prise de position irresponsable peut avoir des conséquences imprévisibles». C’est l’essentiel du...
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