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Actualités - CHRONOLOGIE

Cérémonie - Ouverture du Xe congrès du mouvement Amal Berry : La résistance est une nécessité libanaise

Le président de la Chambre, Nabih Berry, a réaffirmé hier son attachement à la résistance, « une nécessité libanaise », appelant les Libanais de la métropole comme de l’étranger « à ne plus essayer, une nouvelle fois, de donner l’image d’un peuple divisé et dont les avis sont multiples ». Et réfutant, pour la énième fois, l’envoi de l’armée au Liban-Sud, « c’est la zone la plus stable » du Liban, a-t-il dit, il s’est arrêté sur les relations avec la Syrie. Avant de (et pour) rappeler que « la relation stratégique avec la Syrie est dictée par un accord de fraternité et de coopération », le leader du mouvement Amal a évoqué les mœurs politiques du Liban. « N’avons-nous pas prouvé que nous appréhendons chaque échéance que nous avons à mener à terme (mazout, élection partielle, nominations administratives, fonctionnaires surnuméraires, sans parler du dossier du cellulaire) comme une lutte à mort ? », s’est demandé Nabih Berry. « Et après toutes ces secousses, nous imputons tous nos problèmes à un manque de souveraineté du pays. Jusqu’au dernier refrain... », a-t-il ironisé. Assurant qu’Amal « ne couvrirait jamais un criminel, quelle que soit sa position », et appelant à l’adoption d’une loi électorale qui reposerait sur une circonscription unique, sur la base de la proportionnelle. Le n° 2 de l’État s’est exprimé hier au cours de la cérémonie d’ouverture du Xe congrès du mouvement Amal (en présence de nombreuses personnalités politiques). Après que le ministre de l’Intérieur, Élias Murr, eut déclaré, au nom du chef de l’État, que « les nations ne se construisent pas derrière des barricades confessionnelles ou sectaires » et que son collègue à la Justice, Samir Jisr, eut souligné, au nom du Premier ministre, que « le gouvernement actuel possède un programme de croissance économique et de changement ». Kassarji répond à Sayyed Le député de Zahlé, Georges Kassarji, a commenté hier les implications de l’information judiciaire présentée lundi au parquet par le général Jamil Sayyed, directeur de la Sûreté générale. Rappelons que M. Kassarji avait été cité, parmi d’autres personnalités politiques, par le général Sayyed. Une autre personnalité politique, le ministre de la Santé, Sleimane Frangié, avait été également citée et avait répondu, le jour même, par une violente déclaration qu’il avait ensuite retirée, avant sa publication par la presse. En conclusion, M. Kassarji a déclaré s’attendre à un « véritable massacre, le 15 septembre prochain, dans les rangs des médias audiovisuels, sous prétexte de vouloir appliquer la loi ».
Le président de la Chambre, Nabih Berry, a réaffirmé hier son attachement à la résistance, « une nécessité libanaise », appelant les Libanais de la métropole comme de l’étranger « à ne plus essayer, une nouvelle fois, de donner l’image d’un peuple divisé et dont les avis sont multiples ». Et réfutant, pour la énième fois, l’envoi de l’armée au Liban-Sud, «...