Actualités - OPINION
Investis
Par ISSA Jean, le 05 juillet 2002 à 00h00
L’âne de Buridan, c’est cet animal qui a crevé de faim et de soif. Parce que, placé à égale distance d’une botte de foin et d’un seau d’eau, ce sot (lipède) n’a pas su s’il devait d’abord boire ou manger. Et nous, à quel râtelier d’inanition sommes-nous promis? À notre gauche, un saoudo-libanais. À notre droite, un libano-saoudien. Un invité, un investisseur. Deux investissants de notre table d’hôte. Dite du Conseil des ministres. Que nous reste-t-il à leur offrir ? La puissance et la gloire. Pour la popoche, ils repasseront : on a déjà (tout) donné. J.I.
L’âne de Buridan, c’est cet animal qui a crevé de faim et de soif. Parce que, placé à égale distance d’une botte de foin et d’un seau d’eau, ce sot (lipède) n’a pas su s’il devait d’abord boire ou manger. Et nous, à quel râtelier d’inanition sommes-nous promis? À notre gauche, un saoudo-libanais. À notre droite, un libano-saoudien. Un invité, un...
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