Rechercher
Rechercher

Actualités - CHRONOLOGIES

Krikor Norikian - à la galerie Tabbal

La galerie Gabriel Tabbal (Jeïtawi) expose, jusqu’au 25 octobre, une vingtaine d’aquarelles, de pastels et d’huiles de Krikor Norikian, qui vit et travaille à Paris. Norikian peint des vieilles femmes ou des jeunes filles essentiellement, en solo ou en groupe. Des personnages aux regards tristes, graves ou désemparés, à travers lesquels le peintre, profondément touché par la guerre d’Arménie, dit la souffrance de tout un peuple. Les couleurs sont douces en général, sauf pour les peintures traversées d’éclats orange vif. En toile de fond, des paysages ou des intérieurs qui ne semblent servir qu’à mettre en relief le personnage au centre de l’œuvre. Parfois aussi, l’environnement se fait l’écho d’un état d’âme, comme cette forêt dépouillée et ce petit tas de branches mortes devant lesquelles est assise une vieille femme tenant une canne. Pas de larmes, ni de sang. Aucune trace externe de violence. Tout est dans les regards. La peinture de Norikian est très expressive. Le thème est simple et sincère, dénué de toute surcharge ou fioriture. Le message n’en est que plus clair.
La galerie Gabriel Tabbal (Jeïtawi) expose, jusqu’au 25 octobre, une vingtaine d’aquarelles, de pastels et d’huiles de Krikor Norikian, qui vit et travaille à Paris. Norikian peint des vieilles femmes ou des jeunes filles essentiellement, en solo ou en groupe. Des personnages aux regards tristes, graves ou désemparés, à travers lesquels le peintre, profondément touché par...