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Actualités - CHRONOLOGIES

Universités - N. Lahoud : « La lutte d’influence - à l’origine des problèmes de l’UL »

M. Nassib Lahoud, député du Metn, a indiqué que «les raisons derrière l’absence de la nomination des doyens des facultés et des membres du Conseil représentatifs de l’Université libanaise étaient désormais connues de tous». «L’incapacité des dirigeants de se départager les postes entre eux est à l’origine de l’attitude passive de l’État vis-à-vis de ce problème», a-il ajouté. M. Lahoud a déclaré hier, dans un communiqué publié à l’occasion du premier anniversaire de la fin des mandats des doyens et des responsables administratifs de l’UL, que «l’absence de nominations reflète l’attitude légère du pouvoir et des différents gouvernements qui se sont succédé vis-à-vis des problèmes récurrents de l’UL». «Ces problèmes constituent une opportunité pour les responsables de réaliser des profits personnels et d’augmenter leur influence au sein de l’université», a indiqué le député du Metn. Il a également dénoncé l’attitude du gouvernement qui a accordé de nombreuses licences aux universités privées, dont le but ultime est de réaliser des bénéfices, avant de résoudre les problèmes de l’université nationale. D’autre part, le bloc parlementaire de Tripoli, constitué des députés MM. Mohammed Safadi, Mohammed Kabbara et Maurice Fadel, a réitéré son appel à la nomination des doyens des facultés sur base de l’ancienneté et de la compétence. Dans un communiqué publié hier, le bloc a indiqué qu’il était inacceptable que la situation actuelle de l’UL, qui dure déjà depuis un an, se perpétue et a espéré que le gouvernement s’engage à respecter le délai d’un mois, fixé par le ministre de l’Éducation nationale, pour résoudre ce problème.
M. Nassib Lahoud, député du Metn, a indiqué que «les raisons derrière l’absence de la nomination des doyens des facultés et des membres du Conseil représentatifs de l’Université libanaise étaient désormais connues de tous». «L’incapacité des dirigeants de se départager les postes entre eux est à l’origine de l’attitude passive de l’État vis-à-vis de ce...