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Actualités - CHRONOLOGIES

EXPOSITIONS - Dagmar Schenk-Güllich au Gœthe-institut

Le Gœthe-Institut (rue Bliss ; Manara) présente jusqu’au 28 février une trentaine de peintures. Des mixed-médias sur papier (acryliques dessins et croquis) sur le thème de «L’homme, en tant que machine à survivre». L’artiste allemande – qui a déjà exposé à plusieurs reprises à Beyrouth – s’est inspirée dans cette série de toiles des théories de Richard Dawkins sur l’évolution. Le chercheur avait publié à Hambourg en 1996 une étude sur le gène de l’individualisme. Ce qui avait poussé l’artiste à réfléchir sur l’avenir de l’homme. L’homme qu’elle voit de moins en moins comme un être individuel mais plutôt comme une machine collective, comme des sortes de robots sans émotions uniquement préoccupés de leurs gènes. Cela donne des peintures de silhouettes de groupes, tracées au couteau, dans des couleurs pures (beaucoup de noir, de gris et des pointes de bleu, rouge, jaune) sur fond blanc. Des tableaux forts, pleins de mouvements et d’une grande expressivité.
Le Gœthe-Institut (rue Bliss ; Manara) présente jusqu’au 28 février une trentaine de peintures. Des mixed-médias sur papier (acryliques dessins et croquis) sur le thème de «L’homme, en tant que machine à survivre». L’artiste allemande – qui a déjà exposé à plusieurs reprises à Beyrouth – s’est inspirée dans cette série de toiles des théories de Richard...