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Actualités - COMMUNIQUES ET DECLARATIONS

FESTIVAL DE BAALBECK June Anderson: une diva chez Bacchus

Au Temple de Bacchus, l’ivresse hier soir n’était pas au vin mais à la voix d’or de June Anderson, épaule nue et vaporeuse écharpe en mousseline couleur saumon flottant au vent. Présence de diva et atmosphère éthérée avec une cantatrice qui perpétue, par sa splendeur vocale et la sûreté de sa technique, le pur miracle des «stars» du bel canto. Les colonnes du temple généreusement éclairées avaient resserré leur rang dans un attentif garde-à-vous en hommage à une voix enchanteresse. Accompagnée au piano par Jeff Cohen, la cantatrice a chanté un répertoire lyrique assez étendu allant de Cesti à Bernstein en passant par Scarlatti, Paisiello, Rossini, Verdi, Liszt, Bizet, Poulenc et Weill. Moments merveilleux où l’auditoire a retenu son souffle devant une prestation remarquable et surtout la limpidité d’une voix dont les scintillements rivalisaient avec l’éclat des étoiles qui clignotaient au firmament de la Békaa.
Au Temple de Bacchus, l’ivresse hier soir n’était pas au vin mais à la voix d’or de June Anderson, épaule nue et vaporeuse écharpe en mousseline couleur saumon flottant au vent. Présence de diva et atmosphère éthérée avec une cantatrice qui perpétue, par sa splendeur vocale et la sûreté de sa technique, le pur miracle des «stars» du bel canto. Les colonnes du temple...