La justice égyptienne a lancé un mandat d’arrêt contre un membre du Parlement accusé dans le plus grand procès de corruption des 20 dernières années en Égypte. Le mandat d’arrêt a été délivré après que le député Ibrahim Aglane eût disparu samedi de l’hôpital d’Alexandrie (nord de l’Égypte) où il était censé se trouver pour des soins médicaux. Pour échapper à l’enquête judiciaire, le parlementaire avait prétendu que son état de santé nécessitait son hospitalisation, mais les rapports des médecins légistes ont montré qu’il se portait bien. Trente-deux hommes d’affaires et banquiers égyptiens, dont quatre députés du Parti national démocrate (PND, au pouvoir), sont poursuivis dans «le procès des députés des prêts bancaires». Ils sont accusés de trafic d’influence et d’avoir fourni ou obtenu frauduleusement des prêts et facilités bancaires de 1,13 milliard de livres égyptiennes (environ 340 millions de dollars) sans garanties suffisantes et en infraction avec la loi sur les activités bancaires.
La justice égyptienne a lancé un mandat d’arrêt contre un membre du Parlement accusé dans le plus grand procès de corruption des 20 dernières années en Égypte. Le mandat d’arrêt a été délivré après que le député Ibrahim Aglane eût disparu samedi de l’hôpital d’Alexandrie (nord de l’Égypte) où il était censé se trouver pour des soins médicaux. Pour...
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