La démocratie ne se porte pas bien au Liban, a répété sur Télé-Liban le président du Conseil, dans un entretien accordé à la station officielle avant son départ pour l’Arabie séoudite. Et d’ajouter que la démocratie n’existe que là où des comptes sont demandés. «Personne n’a cherché à savoir qui sont les responsables des graves crises nationales qui ont ébranlé le Liban en 1958 et entre 1975 et 1990», s’est-il contenté de constater. Parmi les réalisations de son gouvernement, M. Hoss a cité la transmission de dossiers administratifs aux organes d’inspection et à la justice, ajoutant que, pour lui, «il n’existe pas de lignes rouges» dans ce domaine, et que personne ne doit se croire à l’abri d’une telle procédure. «Nous transmettrons les dossiers à mesure qu’ils seront achevés», a-t-il souligné. Il a enfin rappelé sa position concernant le Sud, l’implantation des Palestiniens ainsi que ses griefs à l’encontre d’une certaine opposition.
La démocratie ne se porte pas bien au Liban, a répété sur Télé-Liban le président du Conseil, dans un entretien accordé à la station officielle avant son départ pour l’Arabie séoudite. Et d’ajouter que la démocratie n’existe que là où des comptes sont demandés. «Personne n’a cherché à savoir qui sont les responsables des graves crises nationales qui ont...
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