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Actualités - REPORTAGES

Un financement international

Des centaines de millions de dollars ont été investis dans le but d’assurer l’eau potable au consommateur, l’eau d’irrigation à l’agriculteur et d’assainir le territoire. Les travaux ont été financés par le ministère des Ressources hydrauliques, les gouvernements français, espagnol, italien et japonais, la Banque mondiale, la Banque européenne, la Banque islamique et le Fonds séoudien. Les travaux réalisés ou en cours de réalisation dans les différentes régions du pays sont les suivants : — Au Liban-Nord : développement des équipements et des ressources en eau, dans les régions de Tripoli, Qobbeyat, Batroun et Koura, Syr el-Dinniyé et Akkar (30 000m2/jour). Construction de la station de traitement d’eau potable de Tripoli ( 45 000 m2/jour) et de celle de Kousba ( 15 000 m2/jour). Captage des eaux de la source d’Abou-Halqa pour alimenter Tripoli ( 35 000m2/jour). Par ailleurs, des stations d’épuration des eaux usées ont été installées à Tripoli, à Bterram (Koura), à Chekka-Batroun, dans le caza de Bécharré et à Aabdeh (Akkar). Le développement du réseau d’irrigation du Akkar à partir de Nahr el-Bared a été mis en chantier. — Au Mont-Liban, il y a eu la réhabilitation de l’ensemble des stations de pompage et de chloration. La construction de la station de traitement des eaux potables de Jbeil. Le développement des ressources en eau et des réseaux d’eau potable dans le littoral de Kesrouan, le caza de Jbeil ; le caza du Metn-Nord (captage des eaux d’Antélias) et le caza du Metn-Sud. Le captage des sources de Safa. L’adduction des eaux à Iqlim el-Kharroub. La réhabilitation de la conduite d’adduction maîtresse de Barouk à Bhamdoun. La mise en place de lignes d’adduction et de réseaux de distribution dans l’Iqlim. La construction de toute l’infrastructure d’alimentation en eau potable de la ville de Damour. La réhabilitation de toute l’infrastructure des réseaux d’eau potable dans les villages qui ont vu le retour des déplacés. Il faut ajouter la construction du collecteur principal des eaux usées du littoral du Metn. Dans le Kesrouan, Baabdate et Jbeil, on a construit des stations d’épuration et des collecteurs d’eaux usées. La construction partielle des réseaux d’eaux usées dans le Metn-Nord, le Metn-Sud, le Chouf et l’Iqlim el-Kharroub. — Dans la Békaa-Nord, l’alimentation en eau potable a été assurée dans la région s’étendant de Baalbeck à Nabi-Chit. Mais aussi dans certaines localités de Ouyoun Orghoch et de Yammouneh qui, à l’instar de Laboué et Qaa, a vu également un développement de ses réseaux d’irrigation. On signale également la réhabilitation du réseau d’eau potable au Hermel. La construction de la station d’épuration des eaux usées à Baalbeck… — Dans la Békaa centrale et la Békaa du sud : réhabilitation de l’ensemble des stations de pompage et de chloration. La construction de la station de traitement des eaux potables de Zahlé. La réfection de certaines lignes d’adduction et de certains réseaux d’eau potable. Le développement des ressources en eau par la réalisation de nouveaux forages. Le développement du projet agricole de Qaa ( phase I). — Au Liban-Sud : réhabilitation de l’ensemble des stations de pompage et de chloration. Développement des stations de traitement d’eau potable de Ras el-Aïn et d’el Bass. Développement des ressources en eau et des réseaux d’eau potable de la ville de Saïda, de Nabatiyeh et du caza de Tyr… Construction d’une station d’épuration des eaux usées de Saïda. Développement des réseaux d’irrigation de petits périmètres agricoles et du projet de Qasmieh.
Des centaines de millions de dollars ont été investis dans le but d’assurer l’eau potable au consommateur, l’eau d’irrigation à l’agriculteur et d’assainir le territoire. Les travaux ont été financés par le ministère des Ressources hydrauliques, les gouvernements français, espagnol, italien et japonais, la Banque mondiale, la Banque européenne, la Banque islamique...