Les Irakiens ont brillé au 9e Festival de musique arabe du Caire, qui s’est achevé cette semaine, tandis que les Syriens ont raflé la majorité des récompenses, le premier prix ayant été attribué à un Séoudien. Le premier prix du festival, consacré cette année à l’improvisation, a été décerné au Séoudien Emad Zaree. Ce joueur de kanoun, un instrument à cordes, a présenté un jeu d’une grande sensibilité et d’une extrême maîtrise. Quatre artistes syriens ont raflé les autres prix. Mohamed Osman pour le bouzouki, Khalil Ghaderi pour le kanoun, Essam Rafee le luth (oud) et Emad al-Molqui également pour le kanoun. Les prix sont dotés de 1 000 à 5 000 livres égyptiennes (300 à 1 470 USD). Le festival, qui a commencé le 1er novembre, a vu la participation de 24 troupes de musique arabes et des ensembles venus de Turquie, d’Ouzbékistan et d’Espagne.
Les Irakiens ont brillé au 9e Festival de musique arabe du Caire, qui s’est achevé cette semaine, tandis que les Syriens ont raflé la majorité des récompenses, le premier prix ayant été attribué à un Séoudien. Le premier prix du festival, consacré cette année à l’improvisation, a été décerné au Séoudien Emad Zaree. Ce joueur de kanoun, un instrument à cordes, a présenté un jeu d’une grande sensibilité et d’une extrême maîtrise. Quatre artistes syriens ont raflé les autres prix. Mohamed Osman pour le bouzouki, Khalil Ghaderi pour le kanoun, Essam Rafee le luth (oud) et Emad al-Molqui également pour le kanoun. Les prix sont dotés de 1 000 à 5 000 livres égyptiennes (300 à 1 470 USD). Le festival, qui a commencé le 1er novembre, a vu la participation de 24 troupes de musique arabes et des ensembles...