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Actualités - CHRONOLOGIE

Flashes du monde politique

l Le député Ahmed Soueid, proche du président Nabih Berry, a estimé que «l’électeur libanais n’aura son mot à dire dans l’élection présidentielle que si le processus de paix progresse». Il a affirmé dans ce cadre qu’«une participation syrienne à cette échéance est dans l’intérêt du Liban puisqu’elle assurera l’accession d’un président efficace à la tête de l’Etat». l Le député Issam Farés s’est demandé hier où en était l’enquête concernant l’écoute téléphonique, enquête dont avait été chargée une commission parlementaire présidée par le général Sami Khatib. M. Farés a réclamé la publication du rapport élaboré à ce sujet ou, si celui-ci n’est pas encore achevé, d’accélérer son élaboration. l Robert Boulos a proclamé hier son appui à la candidature du ministre Sleiman Frangié à la présidence de la République. Selon lui, M. Frangié entretient de bonnes relations avec tous les pays de la région, notamment la Syrie. «Il est ouvert de surcroît à tous les courants, et est en bons termes avec le patriarche maronite Nasrallah Sfeir en particulier», a-t-il ajouté. l A l’occasion d’un meeting oratoire organisé par le mouvement Amal, le député Hassan Alaouié a estimé que toutes les parties qui préconisent un réduction de la durée du mandat du président de l’Assemblée nationale cherchent en réalité à «porter atteinte au rôle du pouvoir exécutif». l Le député Boutros Harb, candidat à la présidence, est rentré hier à Beyrouth après une visite privée de quelques jours effectuée en Suisse. M. Harb devrait rencontrer aujourd’hui les présidents Rafic Hariri et Hussein Husseini. l Une délégation parlementaire irlandaise doit arriver demain mercredi à Beyrouth à l’issue d’une tournée dans la région qui a englobé la Palestine, la Jordanie et la Syrie. Au cours de son séjour au Liban, la délégation s’entretiendra avec le président Elias Hraoui et avec un certain nombre de responsables libanais, avant de regagner l’Irlande vendredi.
l Le député Ahmed Soueid, proche du président Nabih Berry, a estimé que «l’électeur libanais n’aura son mot à dire dans l’élection présidentielle que si le processus de paix progresse». Il a affirmé dans ce cadre qu’«une participation syrienne à cette échéance est dans l’intérêt du Liban puisqu’elle assurera l’accession d’un président efficace à la...