Evoquant les accusations lancées contre la presse, M. Karam a demandé au ministre pourquoi une aide (financière) n’est pas consacrée aux journaux opposants ou loyalistes, comme cela est le cas en Arabie Séoudite et au Koweit. Dans sa réponse, M. Sabeh a pris la défense de la presse, déclarant: «Une aide de ce genre nécessite une loi votée par le Parlement et qui mettrait un terme aux interrogations concernant les sources de financement des journaux. J’ai de toute façon une confiance absolue dans les Ordres de la presse libanaise. D’ailleurs, comment peut-on demander à la presse de faire preuve de transparence dans le domaine des finances alors qu’on ne connaît pas l’origine de l’argent de beaucoup d’autres et les sources de financement de nombreux projets? Et si des accusations sont lancées contre la presse, soyez certains que des milliers d’autres personnes pourraient tout aussi bien se retrouver sur le banc des accusés». L’entretien entre les deux hommes s’est déroulé au siège du ministère des Affaires rurales et municipales, un portefeuille confié à M. Sabeh à titre intérimaire après la démission de M. Hagop Demerdjian.
Evoquant les accusations lancées contre la presse, M. Karam a demandé au ministre pourquoi une aide (financière) n’est pas consacrée aux journaux opposants ou loyalistes, comme cela est le cas en Arabie Séoudite et au Koweit. Dans sa réponse, M. Sabeh a pris la défense de la presse, déclarant: «Une aide de ce genre nécessite une loi votée par le Parlement et qui mettrait...
Les plus commentés
Après Bou Saab, Alain Aoun : la démarche de limogeage mise sur les rails
Don européen : suite à la levée de boucliers, Berry et Mikati s’activent
Oussama Hamdane : Nous avons accepté l’accord de trêve sans renoncer à nos constantes