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Actualités - COMMUNIQUES ET DECLARATIONS

Ni le dollar ne va flamber, ni Hariri partir, déclare le chef du gouvernement

Le chef du gouvernement, M. Rafic Hariri a qualifié de «politique» la campagne de dénigrement qui le vise personnellement ainsi que le gouvernement. «Dans le passé, le peuple était inquiet quant au sort du pays. Après l’accord des trois présidents, la population s’est tranquillisée et les choses vont bien désormais. A présent, il n’y a plus de différend entre les hommes au pouvoir. Il est question donc aujourd’hui de confiance, c’est politique», a-t-il dit.
Dans une interview accordée au quotidien «Al-Bayan» des Emirats arabes unis, M. Hariri a estimé qu’il a réussi à stabiliser la monnaie nationale dès le premier jour de son accession au pouvoir mettant l’accent sur le fait qu’il n’y a rien à craindre à présent et que la livre libanaise restera stable.
Répondant à une question au sujet d’une éventuelle flambée du dollar sur le marché de changes à Beyrouth, M. Hariri a déclaré que «d’aucuns rêvent que le billet vert flambe pour me voir démissionner de mes fonctions. Que ces personnes soient tranquilles. Ni le dollar ne va flamber ni Hariri partir», a-t-il dit avant de souligner que «par ces rumeurs, c’est moi personnellement qui suis visé. Si la monnaie nationale devait perdre de sa valeur face au dollar, cela aurait dû se produire lors des agressions israéliennes de juillet 93 et d’avril 96».
Le chef du gouvernement a réaffirmé que «la monnaie nationale est solide» avant de souligner que «la confiance de la communauté internationale dans le Liban est grande parce que notre pays est en mesure de rembourser ses dettes».
Il a mis l’accent sur le fait que le Liban a été en mesure d’emprunter 400 millions de dollars pendant le dernier crash financier sur les marchés internationaux. «Cette confiance jouera en notre faveur et nous n’aurons aucun problème à ce que nous empruntions les deux millions de dollars», a-t-il dit.
Le chef du gouvernement, M. Rafic Hariri a qualifié de «politique» la campagne de dénigrement qui le vise personnellement ainsi que le gouvernement. «Dans le passé, le peuple était inquiet quant au sort du pays. Après l’accord des trois présidents, la population s’est tranquillisée et les choses vont bien désormais. A présent, il n’y a plus de différend entre les...