Le secrétaire général-adjoint du parti Baas, au pouvoir en Syrie, M. Abdallah el-Ahmar, a réaffirmé dimanche «le choix stratégique» de la Syrie pour la paix et sa disposition à reprendre les négociations avec Israël.
«La Syrie a affirmé à plusieurs reprises que la paix était un choix stratégique», a rappelé M. Ahmar dans un discours radiotélévisé marquant le 27e anniversaire du «mouvement de redressement» ayant porté le président syrien Hafez el-Assad au pouvoir, le 16 novembre 1970.
M. Assad n’a pas participé à la cérémonie. «Le président aurait souhaité prendre personnellement part à votre célébration, comme il a coutume de le faire, mais des raisons ponctuelles l’en ont empêché», a ajouté M. Ahmar sans plus de précision.
Il est rare que le président syrien ne participe pas à la célébration de l’anniversaire du «mouvement de redressement».
La Syrie souhaite «une paix juste et globale fondée sur les résolutions internationales et sur le principe de l’échange de la terre contre la paix», a ajouté M. Ahmar devant un parterre d’officiels syriens et de présidents de syndicats arabes et étrangers.
Les deux vice-présidents syriens Abdel-Halim Khaddam et Zouheir Macharka, le premier ministre Mahmoud el-Zohbi et le président du Parlement Abdel-Kader Kaddoura étaient notamment présents.
«Le président Assad a mis en garde contre les défis posés à la Syrie et la nation arabe. La Syrie ne fera pas de compromis et affirme sa disposition à reprendre les négociations de paix (avec Israël) au point où elles s’étaient arrêtées» en février 1996, a poursuivi M. Ahmar.
Israël refuse de reprendre les pourparlers avec la Syrie au point où ils s’étaient arrêtés, c’est-à-dire avec la promesse faite par le précédent gouvernement israélien de se retirer du plateau du Golan occupé depuis 1967.
Le numéro deux du parti Baas a dénoncé la politique du premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, l’accusant d’avoir «fermé toutes les portes à la paix et créé ainsi un danger qui menace tout le Proche-Orient».
M. Ahmar a par ailleurs reproché aux Etats-Unis leur soutien au gouvernement de M. Netanyahu et a demandé à Washington de déployer «des efforts rapides et tangibles en faveur de son initiative de paix» au Proche-Orient.
Le dirigeant syrien a qualifié la conférence économique sur le Proche-Orient et l’Afrique du Nord qui s’est ouverte à Doha en présence d’Israël de «mort-née», et affirmé que ce forum avait «échoué en raison de la mobilisation arabe intensive et des pressions populaires hostiles à la normalisation» avec l’Etat hébreu.
«La tension dans le Golfe détourne l’attention de la crise du processus de paix et aura des conséquences graves sur la sécurité et la stabilité de la région», a en outre estimé M. Ahmar, évoquant le différend entre l’Irak et l’ONU à propos du désarmement irakien.
«La Syrie a affirmé à plusieurs reprises que la paix était un choix stratégique», a rappelé M. Ahmar dans un discours radiotélévisé marquant le 27e anniversaire du «mouvement de redressement» ayant porté le président syrien Hafez el-Assad au pouvoir, le 16 novembre 1970.
M. Assad n’a pas participé à la cérémonie. «Le président aurait souhaité prendre personnellement part à votre célébration, comme il a coutume de le faire, mais des raisons ponctuelles l’en ont empêché», a ajouté M. Ahmar sans plus de précision.
Il est rare que le président syrien ne participe pas à la célébration de l’anniversaire du «mouvement de redressement».
La Syrie souhaite «une paix juste et globale fondée sur les résolutions internationales et sur le principe de l’échange de la terre contre la paix», a ajouté M. Ahmar devant un parterre d’officiels syriens et de présidents de syndicats arabes et étrangers.
Les deux vice-présidents syriens Abdel-Halim Khaddam et Zouheir Macharka, le premier ministre Mahmoud el-Zohbi et le président du Parlement Abdel-Kader Kaddoura étaient notamment présents.
«Le président Assad a mis en garde contre les défis posés à la Syrie et la nation arabe. La Syrie ne fera pas de compromis et affirme sa disposition à reprendre les négociations de paix (avec Israël) au point où elles s’étaient arrêtées» en février 1996, a poursuivi M. Ahmar.
Israël refuse de reprendre les pourparlers avec la Syrie au point où ils s’étaient arrêtés, c’est-à-dire avec la promesse faite par le précédent gouvernement israélien de se retirer du plateau du Golan occupé depuis 1967.
Le numéro deux du parti Baas a dénoncé la politique du premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, l’accusant d’avoir «fermé toutes les portes à la paix et créé ainsi un danger qui menace tout le Proche-Orient».
M. Ahmar a par ailleurs reproché aux Etats-Unis leur soutien au gouvernement de M. Netanyahu et a demandé à Washington de déployer «des efforts rapides et tangibles en faveur de son initiative de paix» au Proche-Orient.
Le dirigeant syrien a qualifié la conférence économique sur le Proche-Orient et l’Afrique du Nord qui s’est ouverte à Doha en présence d’Israël de «mort-née», et affirmé que ce forum avait «échoué en raison de la mobilisation arabe intensive et des pressions populaires hostiles à la normalisation» avec l’Etat hébreu.
«La tension dans le Golfe détourne l’attention de la crise du processus de paix et aura des conséquences graves sur la sécurité et la stabilité de la région», a en outre estimé M. Ahmar, évoquant le différend entre l’Irak et l’ONU à propos du désarmement irakien.
Le secrétaire général-adjoint du parti Baas, au pouvoir en Syrie, M. Abdallah el-Ahmar, a réaffirmé dimanche «le choix stratégique» de la Syrie pour la paix et sa disposition à reprendre les négociations avec Israël.«La Syrie a affirmé à plusieurs reprises que la paix était un choix stratégique», a rappelé M. Ahmar dans un discours radiotélévisé marquant le 27e...
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