C’est ce qu’a affirmé hier le député Sélim Hoss dans une déclaration à la presse.
Soulignant que «l’opposition détient la solution de rechange», M. Hoss s’est déclaré pour «l’arrêt des rumeurs selon lesquelles l’opposition n’a pas de programme». Il a toutefois souligné qu’«on ne peut demander à l’opposition de mettre au point un plan de reconstruction et de développement car elle ne possède pas les moyens d’une telle stratégie détenus seulement par l’Etat».
Et de poursuivre: «En substitut à la troïka, nous proposons les textes constitutionnels; en substitut au gaspillage, nous proposons la rationalisation des dépenses et des priorités; en substitut à l’anarchie, nous proposons l’épuration de la vie politique et un plan de réforme administrative globale».
M. Hoss a par ailleurs mis l’accent sur le fait que «le pouvoir dénonce aujourd’hui l’anarchie et le gaspillage que nous n’avons nous-mêmes pas cessé de dénoncer depuis trois ans».
M. Hoss a conclu en réitérant son «attachement à l’organisation des élections municipales».
Les plus commentés
Derrière la visite de Walid Boukhari à Meerab
Le Hamas accepte une proposition de cessez-le-feu qataro-égyptienne, Israël la juge "adoucie et inacceptable" : jour 213 de la guerre de Gaza
À Meis el-Jabal, « quatre innocents ont été tués » par une frappe israélienne