«La Rencontre verte», organisme qui regroupe un grand nombre d’organisations environnementales, s’est réuni pour trois jours de travail à Bécharré. Les questions suivantes ont été abordées au cours des débats:
1 - Les côtes libanaises: Afin de sauver ce qu’il en reste, il faudrait demander au Parlement de donner la priorité à un projet de loi qui a déjà été proposé par les commissions chargées de l’organisation des propriétés publiques. Cette loi impose un minimum de soixante mètres de recul à toute construction se situant en bord de mer. Cette loi ne doit pas être confondue avec celle qui réglemente les infractions sur les bien-fonds maritimes. Ce qu’il y a de plus urgent, cependant, c’est que le Parlement n’approuve aucune loi qui permettrait la vente ou la location à long terme de la côte.
2 - La vallée de la Kadisha: Arrêter tous les travaux qui feraient perdre à ce site la possibilité d’être classé patrimoine mondial.
3 - Les forêts: Certaines forêts courent de graves dangers. La réserve de Karm Chbat a été prise d’assaut par des hommes armés, qui y ont bâti des maisonnées en dur et entreprennent d’y construire des terrasses. Tout cela au vu et au su des responsables, à qui il est demandé expressément de réagir.
La forêt de Kalla, dans les cazas de Syr-Dinniyé et du Akkar, qui abrite des cèdres, souffre d’un double problème de déforestation et de broutage incontrôlé.
La forêt de cèdres de Tannourine est menacée de maladie.
La forêt de cèdres dite du Patriarche et celle de Nahya, dans le caza du Batroun, risquent d’être sérieusement endommagées par la déforestation et les carrières qui champignonnent.
Enfin, la forêt de cèdres de Kammouha voit ses trois cent mille arbres périr lentement à cause de la pollution créée par le voisinage d’une carrière dont les responsables ont parfaitement connaissance.
1 - Les côtes libanaises: Afin de sauver ce qu’il en reste, il faudrait demander au Parlement de donner la priorité à un projet de loi qui a déjà été proposé par les commissions chargées de l’organisation des propriétés publiques. Cette loi impose un minimum de soixante mètres de recul à toute construction se situant en bord de mer. Cette loi ne doit pas être confondue avec celle qui réglemente les infractions sur les bien-fonds maritimes. Ce qu’il y a de plus urgent, cependant, c’est que le Parlement n’approuve aucune loi qui permettrait la vente ou la location à long terme de la côte.
2 - La vallée de la Kadisha: Arrêter tous les travaux qui feraient perdre à ce site la possibilité d’être classé patrimoine mondial.
3 - Les forêts: Certaines forêts courent de graves dangers. La réserve de Karm Chbat a été prise d’assaut par des hommes armés, qui y ont bâti des maisonnées en dur et entreprennent d’y construire des terrasses. Tout cela au vu et au su des responsables, à qui il est demandé expressément de réagir.
La forêt de Kalla, dans les cazas de Syr-Dinniyé et du Akkar, qui abrite des cèdres, souffre d’un double problème de déforestation et de broutage incontrôlé.
La forêt de cèdres de Tannourine est menacée de maladie.
La forêt de cèdres dite du Patriarche et celle de Nahya, dans le caza du Batroun, risquent d’être sérieusement endommagées par la déforestation et les carrières qui champignonnent.
Enfin, la forêt de cèdres de Kammouha voit ses trois cent mille arbres périr lentement à cause de la pollution créée par le voisinage d’une carrière dont les responsables ont parfaitement connaissance.
«La Rencontre verte», organisme qui regroupe un grand nombre d’organisations environnementales, s’est réuni pour trois jours de travail à Bécharré. Les questions suivantes ont été abordées au cours des débats:1 - Les côtes libanaises: Afin de sauver ce qu’il en reste, il faudrait demander au Parlement de donner la priorité à un projet de loi qui a déjà été...
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