L’imposition de nouvelles taxes d’une manière inéquitable ne peut constituer la solution au problème du déficit budgétaire», a-t-il dit.
Au cours d’une interview télévisée, M. Pharaon a reconnu que le déficit budgétaire est aujourd’hui supérieur à celui qui existait lors de l’examen du projet de loi de finances, estimant qu’il est désormais nécessaire de combler ce déficit afin de créer un équilibre entre les recettes et les dépenses.
Le parlementaire a estimé que les problèmes qui minent de l’intérieur le Conseil des ministres se répercutent de manière négative sur la conjoncture socio-économique.
Abordant la question de la réforme administrative, M. Pharaon a estimé que le problème réside non seulement au niveau de la structure des administrations publiques mais dans le processus de fonctionnement.
Les plus commentés
Après Bou Saab, Alain Aoun : la démarche de limogeage mise sur les rails
Don européen : suite à la levée de boucliers, Berry et Mikati s’activent
Oussama Hamdane : Nous avons accepté l’accord de trêve sans renoncer à nos constantes