Le député Mohamed Abdel Hamid Beydoun a réaffirmé que «le financement du retour des déplacés pourrait être assuré par les banques commerciales. Ce qui ne coûterait pas annuellement au Trésor plus de 50 milliards de L.L.»
Il a mis l’accent sur la nécessité d’une programmation des projets dans le cadre du budget d’une manière à éviter d’imposer aux citoyens de nouveaux impôts.
M. Beydoun a déclaré que «le problème principal demeure celui de combler le déficit budgétaire. Ce problème nécessite une entente nationale et son règlement n’est pas simple», a-t-il dit.
Il a par ailleurs soulevé l’affaire des arriérés dus aux hôpitaux et le cas des enseignants qui doivent profiter de l’échelle des salaires conformément à la loi 593.
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