M. Arslane s’exprimait lors d’une cérémonie lundi soir à Aley consacrée aux émigrés originaires de cette ville.
Il a indiqué que le choix du palais de l’UNESCO, lieu symbolique où s’était déroulé le premier congrès de l’ULCM, en 1960, sous le patronage du chef de l’Etat de l’époque, Fouad Chéhab, était motivé par la volonté de «réunifier les Libanais de la diaspora», mais aussi d’«unifier les points de vue au sein de l’Etat libanais sur la manière de traiter du dossier des émigrés».
M. Arslane a souligné qu’il était «nécessaire pour parvenir à cet objectif de renforcer l’ULCM en lui donnant les moyens d’assurer son unité et son autonomie loin de toute considération politique».
«Que cela soit clair pour tout le monde: sous mon mandat, je ne permettrai pas que le ministère des Emigrés relève d’une communauté. C’est un ministère pour tout le Liban», a-t-il assuré.
«Toutefois, si ce ministère ne s’occupe pas de politique avec les émigrés, cela ne signifie pas que nous permettrons à quiconque de le faire», a-t-il ajouté.
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