Des employés libanais de la FINUL ont bloqué partiellement hier les entrées du quartier général de la Force intérimaire des Nations-Unies au Liban (FINUL) à Naqoura.
Les employés protestaient contre le licenciement d’une trentaine d’entre eux.
Environ 130 manifestants, travaillant dans la zone occupée, ont obstrué avec des pneus, à partir de 8h., les trois entrées principales du QG de Naqoura.
Le commandant en chef de la FINUL, le général polonais Isthanlas Waziniak, et 400 officiers et soldats de neuf nationalités se trouvaient dans le QG.
Les employés «locaux» ont déclenché leur mouvement alors que se déroulait dans l’enceinte du QG une cérémonie à la mémoire de six Casques bleus, cinq Italiens et un Irlandais, tués le 7 août dans un accident d’hélicoptère au Liban-Sud.
Un officier de la FINUL a «regretté qu’un groupe d’employés aient bloqué les routes menant au lieu de la cérémonie (..) surtout que nous tentons de trouver une solution à leur problème».
Les grévistes ont interdit la circulation des véhicules mais ont permis les entrées et les sorties à pied des Casques bleus.
L’un d’eux, Georges, 28 ans, a indiqué que les grévistes voulaient imposer un «blocus total de Naqoura» à partir de mercredi si la décision de licenciement n’était pas purement et simplement annulée.
Dans le même temps, les 270 autres employés «locaux», mais ceux-là résidents en dehors de la zone occupée, observaient un arrêt de travail.
Les employés libanais de la FINUL occupent des postes administratifs, travaillent dans les garages, à l’hôpital et dans les réfectoires.
La FINUL entend licencier «pour des raisons budgétaires» 29 des 400 employés libanais et réduire 60 autres à un travail à temps partiel.
Forte de 5.200 hommes répartis en 9 contingents (Népalais, Fidjiens, Irlandais, Ghanéens, Finlandais, Italiens, Français, Norvégiens, Polonais), la FINUL contrôle 675 km carrés dont une partie à l’intérieur de la zone occupée par Israël.
Elle est déployée depuis en 1978 à la suite d’une première invasion israélienne (opération Litani) pour «aider les autorités légales libanaises à contrôler leur territoire jusqu’à la frontière internationale», la FINUL n’a pu remplir sa mission devant le refus de l’Etat hébreu d’appliquer la résolution 425 du Conseil de Sécurité exigeant son retrait.
Les employés protestaient contre le licenciement d’une trentaine d’entre eux.
Environ 130 manifestants, travaillant dans la zone occupée, ont obstrué avec des pneus, à partir de 8h., les trois entrées principales du QG de Naqoura.
Le commandant en chef de la FINUL, le général polonais Isthanlas Waziniak, et 400 officiers et soldats de neuf nationalités se trouvaient dans le QG.
Les employés «locaux» ont déclenché leur mouvement alors que se déroulait dans l’enceinte du QG une cérémonie à la mémoire de six Casques bleus, cinq Italiens et un Irlandais, tués le 7 août dans un accident d’hélicoptère au Liban-Sud.
Un officier de la FINUL a «regretté qu’un groupe d’employés aient bloqué les routes menant au lieu de la cérémonie (..) surtout que nous tentons de trouver une solution à leur problème».
Les grévistes ont interdit la circulation des véhicules mais ont permis les entrées et les sorties à pied des Casques bleus.
L’un d’eux, Georges, 28 ans, a indiqué que les grévistes voulaient imposer un «blocus total de Naqoura» à partir de mercredi si la décision de licenciement n’était pas purement et simplement annulée.
Dans le même temps, les 270 autres employés «locaux», mais ceux-là résidents en dehors de la zone occupée, observaient un arrêt de travail.
Les employés libanais de la FINUL occupent des postes administratifs, travaillent dans les garages, à l’hôpital et dans les réfectoires.
La FINUL entend licencier «pour des raisons budgétaires» 29 des 400 employés libanais et réduire 60 autres à un travail à temps partiel.
Forte de 5.200 hommes répartis en 9 contingents (Népalais, Fidjiens, Irlandais, Ghanéens, Finlandais, Italiens, Français, Norvégiens, Polonais), la FINUL contrôle 675 km carrés dont une partie à l’intérieur de la zone occupée par Israël.
Elle est déployée depuis en 1978 à la suite d’une première invasion israélienne (opération Litani) pour «aider les autorités légales libanaises à contrôler leur territoire jusqu’à la frontière internationale», la FINUL n’a pu remplir sa mission devant le refus de l’Etat hébreu d’appliquer la résolution 425 du Conseil de Sécurité exigeant son retrait.
Des employés libanais de la FINUL ont bloqué partiellement hier les entrées du quartier général de la Force intérimaire des Nations-Unies au Liban (FINUL) à Naqoura.Les employés protestaient contre le licenciement d’une trentaine d’entre eux.Environ 130 manifestants, travaillant dans la zone occupée, ont obstrué avec des pneus, à partir de 8h., les trois entrées...
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