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Actualités - CHRONOLOGIE

Lady Di si proche des gens d'en bas..

On l’avait deviné il y a longtemps: Diana est «plus proche des gens d’en bas que des gens d’en haut»: c’est elle-même qui le dit, dans une interview au vénérable quotidien français «Le Monde», ajoutant: «En cela, je dérange certains cercles». On voit un peu de quels cercles il s’agit — probablement ceux qu’elle fait tourner en rond depuis des années, avec ses escapades qui alimentent régulièrement une certaine presse.
Au fait, ces gens d’«en bas» dont l’ex-princesse est si proche, serait-ce des fois ce pauvre millionnaire de Dodi Fayed ou son prédécesseur, l’infortuné richissime pakistanais, ou encore...
Dans cette interview, Diana dénonce aussi la «férocité» de la presse britannique, qu’elle sait pourtant admirablement manipuler. Et de remettre ça:
«Je me sens proche des gens quels qu’ils soient. On est d’emblée au même niveau, sur la même longueur d’onde», explique Diana qui estime entretenir au cours de ses nombreuses visites de charité, «une vraie relation de proximité avec les plus humbles».
«Mon père m’a toujours appris à traiter quiconque comme un égal. Je l’ai toujours fait et je suis sûre que Harry et William (ses fils) en ont pris de la graine», estime l’ancienne épouse du prince Charles.
Alors que ses initiatives pour soutenir de nombreuses causes sont parfois sévèrement critiquées en Grande-Bretagne, elle accuse d’abord les médias, qui lui avaient notamment asséné une volée de bois vert lorsqu’elle s’était faite
photographier, maquillée avec boucles d’oreilles, en train d’assister à une intervention chirurgicale d’un chic, ma chère!...
«La presse est féroce. Elle ne pardonne rien, elle ne traque que l’erreur. Chaque intention est détournée, chaque geste critiqué. Je crois qu’à l’étranger, c’est différent. On m’y accueille avec gentillesse, on me prend comme je suis, sans a priori, sans guetter le faux pas», dit-elle.
«En Grande-Bretagne, c’est le contraire. Et je crois qu’à ma place, n’importe qui de sain serait parti depuis longtemps. Mais je ne peux pas, j’ai mes fils», ajoute-t-elle, semblant ainsi mettre un terme aux rumeurs d’exil qu’elle avait un temps elle-même entretenues.
Harry et William, c’est sûr, sauront apprécier cette abnégation. Les pauvres aussi: «Quiconque en détresse m’appellera, j’accourrai, où qu’il soit», dit-elle. Amateurs, à vos marques...
La mère du futur roi d’Angleterre fait une incursion dans l’univers de la politique et donne un coup de chapeau au nouveau gouvernement travailliste de Tony Blair. Mais c’est pour sa décision d’arrêter la fabrication et le stockage des mines antipersonnel: «Sa position sur ce sujet a toujours été claire. Il va faire un travail formidable». Diana avait participé ces derniers mois à la campagne contre ces armes, en se rendant notamment en Angola en janvier dernier.
On l’avait deviné il y a longtemps: Diana est «plus proche des gens d’en bas que des gens d’en haut»: c’est elle-même qui le dit, dans une interview au vénérable quotidien français «Le Monde», ajoutant: «En cela, je dérange certains cercles». On voit un peu de quels cercles il s’agit — probablement ceux qu’elle fait tourner en rond depuis des années, avec ses...