Le vice-président du Conseil supérieur chiite, cheikh Abdel Amir Kabalan, a plaidé hier en faveur de la cause des habitants de la bande frontalière, et notamment du caza de Jezzine, jugeant nécessaire d’alléger leurs souffrances.
«Le Liban est confronté à de nombreuses crises et l’une d’elles, la plus grave aussi, est la poursuite de l’occupation israélienne d’une partie du Liban-Sud et de la Békaa. Pour pouvoir faire face à ces crises, il faut déployer un effort à l’échelle nationale et alléger les souffrances de nos frères à l’intérieur de la bande frontalière. Ceux-là souffrent de l’injustice de l’occupant et de ses agissements arbitraires. Il n’est pas permis qu’on laisse nos frères dans la zone occupée victimes d’un chantage (pratiqué par les Israéliens) et des arrestations arbitraires. Ils sont Libanais et vivent sur une terre libanaise», a déclaré cheikh Kabalan.
Le vice-président du CSC a ensuite invité le comité de surveillance au Liban-Sud à faire figurer les problèmes des habitants de la bande frontalière sur son ordre du jour. Selon lui, cette initiative se justifie par le fait que ce groupe issu des arrangements du 26 avril a pour mission de «protéger les civils et de les maintenir dans leurs villages et non seulement de recenser les agressions israéliennes contre les villages libérés».
Abordant la question du redéploiement des forces de l’Armée du Liban-Sud dans le secteur de Saïdoun, au sud-est de Jezzine, cheikh Kabalan y a vu «un piège» visant à vider les villages de l’est de Saïda de leurs habitants. Selon lui, c’est pour protéger ses miliciens que l’ALS a décidé ce redéploiement «et non pas par amour pour Jezzine ou pour ses habitants». «La tendance agressive israélienne a transparu à travers l’attaque contre la résidence du député Samir Azar à Jezzine», a-t-il ajouté. Rappelons qu’une grenade avait été lancée mercredi contre la résidence de M. Azar.
Cheikh Kabalan a accusé Israël de vouloir pousser les habitants de la région de Jezzine à l’exode. «Nous devons rester sur nos gardes et nous éloigner des problèmes d’ordre secondaire qui servent Israël et ses plans meurtriers», a-t-il encore déclaré.
«Le Liban est confronté à de nombreuses crises et l’une d’elles, la plus grave aussi, est la poursuite de l’occupation israélienne d’une partie du Liban-Sud et de la Békaa. Pour pouvoir faire face à ces crises, il faut déployer un effort à l’échelle nationale et alléger les souffrances de nos frères à l’intérieur de la bande frontalière. Ceux-là souffrent de l’injustice de l’occupant et de ses agissements arbitraires. Il n’est pas permis qu’on laisse nos frères dans la zone occupée victimes d’un chantage (pratiqué par les Israéliens) et des arrestations arbitraires. Ils sont Libanais et vivent sur une terre libanaise», a déclaré cheikh Kabalan.
Le vice-président du CSC a ensuite invité le comité de surveillance au Liban-Sud à faire figurer les problèmes des habitants de la bande frontalière sur son ordre du jour. Selon lui, cette initiative se justifie par le fait que ce groupe issu des arrangements du 26 avril a pour mission de «protéger les civils et de les maintenir dans leurs villages et non seulement de recenser les agressions israéliennes contre les villages libérés».
Abordant la question du redéploiement des forces de l’Armée du Liban-Sud dans le secteur de Saïdoun, au sud-est de Jezzine, cheikh Kabalan y a vu «un piège» visant à vider les villages de l’est de Saïda de leurs habitants. Selon lui, c’est pour protéger ses miliciens que l’ALS a décidé ce redéploiement «et non pas par amour pour Jezzine ou pour ses habitants». «La tendance agressive israélienne a transparu à travers l’attaque contre la résidence du député Samir Azar à Jezzine», a-t-il ajouté. Rappelons qu’une grenade avait été lancée mercredi contre la résidence de M. Azar.
Cheikh Kabalan a accusé Israël de vouloir pousser les habitants de la région de Jezzine à l’exode. «Nous devons rester sur nos gardes et nous éloigner des problèmes d’ordre secondaire qui servent Israël et ses plans meurtriers», a-t-il encore déclaré.
Le vice-président du Conseil supérieur chiite, cheikh Abdel Amir Kabalan, a plaidé hier en faveur de la cause des habitants de la bande frontalière, et notamment du caza de Jezzine, jugeant nécessaire d’alléger leurs souffrances.«Le Liban est confronté à de nombreuses crises et l’une d’elles, la plus grave aussi, est la poursuite de l’occupation israélienne d’une...
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