Drogue : la cour de cassation condamne Naïm Maalouf à quatre ans de prison

Le président du Conseil supérieur chiite, l’imam Mohamad Mehdi Chamseddine, a affirmé hier qu’«une solution séparée pour Jezzine en dehors de l’ensemble d’un processus pouvant concerner l’ensemble du Sud n’est pas à envisager».
Le dignitaire religieux chiite, qui s’exprimait à l’occasion de la 19e commémoration de la disparition de l’imam Moussa Sadr en Libye, a demandé à toutes les personnalités libanaises désireuses de se prononcer sur la situation à Jezzine de ne pas tomber dans le piège que leur tend Israël «qui essaie à travers les suspicions qu’il soulève de provoquer une cassure au sein de la société libanaise».
Cheikh Chamseddine considère que la résistance a le droit de mener son action là où elle le juge nécessaire car «c’est seulement avec la fin de l’occupation que la résistance verra son rôle se terminer».