A Jeita, un spectacle multimédia «Echos de son, lumière et couleur» de Jamal Abou el-Hosn.
Sur des variations musicales mêlant le folklore libanais à la musique classique, des projections sur les parois de la grotte. C’est au fin fond de la grotte supérieure que se déroule ce show•. Sur un plateau en forme de balcon, Jamal Abou el-Hosn a installé son attirail: synthétiseur, ordinateurs, piano. En face, sur les passerelles, le public. Sur la surface des rochers millénaires, on devine plus qu’on ne voit des fleurs s’épanouissant, des danseuses virevoltant gracieusement. Dans la pièce intitulée «Promenade», des bruits d’eau courante, des cascades et les faisceaux des stroboscopes qui éclatent en points multicolores.
Le nay côtoie les battements rythmés du synthétiseur, la zaffé d’une mariée, une «zalghouta» accompagnant le Boléro de Ravel, la musique du feuilleton X-Files avec des notes de kanoun et des roulements de tambour. C’est éclectique, assez spécial en somme.
L’artiste joue avec les rythmes, passant d’une musique orientale à un air occidental parfois subitement et sans véritable lien. Des atabas, mijanas, et autres daloounas, puis subitement une séquence guerre avec bombardements et éclairs.
Final avec des extraits du Prophète de Gebran suivis de l’incontournable «Rajéeh yetaammar Loubnan».
M.G.
• Les 25 et 26 juillet et 1,2,8 et 9 août
Sur des variations musicales mêlant le folklore libanais à la musique classique, des projections sur les parois de la grotte. C’est au fin fond de la grotte supérieure que se déroule ce show•. Sur un plateau en forme de balcon, Jamal Abou el-Hosn a installé son attirail: synthétiseur, ordinateurs, piano. En face, sur les passerelles, le public. Sur la surface des rochers millénaires, on devine plus qu’on ne voit des fleurs s’épanouissant, des danseuses virevoltant gracieusement. Dans la pièce intitulée «Promenade», des bruits d’eau courante, des cascades et les faisceaux des stroboscopes qui éclatent en points multicolores.
Le nay côtoie les battements rythmés du synthétiseur, la zaffé d’une mariée, une «zalghouta» accompagnant le Boléro de Ravel, la musique du feuilleton X-Files avec des notes de kanoun et des roulements de tambour. C’est éclectique, assez spécial en somme.
L’artiste joue avec les rythmes, passant d’une musique orientale à un air occidental parfois subitement et sans véritable lien. Des atabas, mijanas, et autres daloounas, puis subitement une séquence guerre avec bombardements et éclairs.
Final avec des extraits du Prophète de Gebran suivis de l’incontournable «Rajéeh yetaammar Loubnan».
M.G.
• Les 25 et 26 juillet et 1,2,8 et 9 août
A Jeita, un spectacle multimédia «Echos de son, lumière et couleur» de Jamal Abou el-Hosn.Sur des variations musicales mêlant le folklore libanais à la musique classique, des projections sur les parois de la grotte. C’est au fin fond de la grotte supérieure que se déroule ce show•. Sur un plateau en forme de balcon, Jamal Abou el-Hosn a installé son attirail:...
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