Le ministre chargé des Emigrés, M. Talal Arslane, a appelé hier à l’octroi de la nationalité libanaise à tous les émigrés «qui la méritent», et a indiqué que son ministère allait bientôt entamer un recensement des Libanais d’outre-mer et des émigrés d’origine libanaise.
M. Arslane s’exprimait lors d’un «festival des émigrés» à Rachaya, localité qui, a-t-il dit, avec sa région, a fourni le premier lot de partants pour l’étranger.
A ce propos, le ministre a affirmé que des centaines d’émigrés de Rachaya et de Kfarmechki se trouvaient à bord du paquebot Titanic, qui a sombré le 14 avril 1912 dans l’Atlantique Nord lors de son voyage inaugural entre la Grande-Bretagne et les Etats-Unis. Sur 2.201 passagers, 711 seulement avaient survécu.
Selon M. Arslane, le nombre des Libanais de la diaspora est plus de trois fois supérieur à celui des résidents au Liban. Cette proportion «n’est pas exagérée», a-t-il dit.
Il a souligné que les émigrés avaient «joué un rôle essentiel dans la sauvegarde du Liban» grâce notamment aux aides financières qu’ils ont prodiguées à leurs proches dans le pays.
«Le Liban aujourd’hui a besoin de toute aide disponible, et par-dessus tout de celle de ses fils répandus dans le monde et qui constituent son réservoir stratégique», a poursuivi M. Arslane, indiquant que l’un des fondements de la politique de son ministère résidait dans la régularisation du statut personnel des émigrés.
Cette régularisation permettrait «de stopper l’hémorragie de perte de l’identité libanaise» parmi les émigrés, a-t-il précisé, appelant à «octroyer la nationalité libanaise à tout émigré qui mérite de la récupérer».
«Mais cette question ne doit en aucun cas être mêlée à des considérations politiques et confessionnelles. Les émigrés sont Libanais par l’identité et par l’allégeance et nous devons traiter avec eux en partant de ce principe», a-t-il dit.
M. Arslane a en outre indiqué que l’une des priorités de son ministère était d’encourager l’enseignement de la langue arabe aux enfants d’émigrés libanais, ainsi que le recensement des émigrés.
M. Arslane s’exprimait lors d’un «festival des émigrés» à Rachaya, localité qui, a-t-il dit, avec sa région, a fourni le premier lot de partants pour l’étranger.
A ce propos, le ministre a affirmé que des centaines d’émigrés de Rachaya et de Kfarmechki se trouvaient à bord du paquebot Titanic, qui a sombré le 14 avril 1912 dans l’Atlantique Nord lors de son voyage inaugural entre la Grande-Bretagne et les Etats-Unis. Sur 2.201 passagers, 711 seulement avaient survécu.
Selon M. Arslane, le nombre des Libanais de la diaspora est plus de trois fois supérieur à celui des résidents au Liban. Cette proportion «n’est pas exagérée», a-t-il dit.
Il a souligné que les émigrés avaient «joué un rôle essentiel dans la sauvegarde du Liban» grâce notamment aux aides financières qu’ils ont prodiguées à leurs proches dans le pays.
«Le Liban aujourd’hui a besoin de toute aide disponible, et par-dessus tout de celle de ses fils répandus dans le monde et qui constituent son réservoir stratégique», a poursuivi M. Arslane, indiquant que l’un des fondements de la politique de son ministère résidait dans la régularisation du statut personnel des émigrés.
Cette régularisation permettrait «de stopper l’hémorragie de perte de l’identité libanaise» parmi les émigrés, a-t-il précisé, appelant à «octroyer la nationalité libanaise à tout émigré qui mérite de la récupérer».
«Mais cette question ne doit en aucun cas être mêlée à des considérations politiques et confessionnelles. Les émigrés sont Libanais par l’identité et par l’allégeance et nous devons traiter avec eux en partant de ce principe», a-t-il dit.
M. Arslane a en outre indiqué que l’une des priorités de son ministère était d’encourager l’enseignement de la langue arabe aux enfants d’émigrés libanais, ainsi que le recensement des émigrés.
Le ministre chargé des Emigrés, M. Talal Arslane, a appelé hier à l’octroi de la nationalité libanaise à tous les émigrés «qui la méritent», et a indiqué que son ministère allait bientôt entamer un recensement des Libanais d’outre-mer et des émigrés d’origine libanaise.M. Arslane s’exprimait lors d’un «festival des émigrés» à Rachaya, localité qui,...
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