Le premier congrès des laïcs catholiques au Moyen-Orient s’est achevé samedi soir par la rédaction d’un communiqué final où les participants aux travaux de cette rencontre ont notamment insisté sur la nécessité d’un dialogue entre les religions monothéistes à savoir le christianisme, l’islam et le judaïsme.
Rappelons que les participants étaient de différentes nationalités, palestinienne, jordanienne, syrienne, irakienne, chypriote, libanaise et égyptienne.
Le communiqué des laïcs catholiques souligne en particulier la précarité de la situation dans la région, affirmant que celle-ci «oscille entre la paix et la guerre. On peut envisager un nouveau type de relations internationales dans le cadre desquelles les droits et les libertés de l’homme et des peuples seraient plus respectés». Toujours selon le communiqué, une cause essentielle s’impose dans cette terre du Moyen-Orient, en l’occurrence, «la rencontre entre le christianisme, l’islam et le judaïsme, et le dialogue entre les croyants en un seul Dieu» ou encore un «dialogue œcuménique».
Soulignant d’autre part leur détermination à «collaborer étroitement avec le clergé», les participants au congrès se sont engagés à être des «bâtisseurs de ponts pour faciliter la rencontre avec le prochain». «Nous devons aussi nous engager aux niveaux social, culturel et politique dans l’intérêt général de la société, et bâtir avec tous les citoyens une patrie de liberté, respectant les droits de l’homme, des familles et des sociétés sans aucune discrimination», ajoute le communiqué avant de poursuivre: «Nous voulons encore affirmer notre attachement à nos racines et à nos ancêtres, à la culture et aux traditions qui ont fait de nous ce que nous sommes aujourd’hui. Dans cette optique, nous tendons la main à tous nos frères, aux jeunes du Moyen-Orient, en particulier à ceux qui appartiennent aux Eglises-sœurs et aux religions monothéistes (...)», conclut le communiqué.
Par ailleurs, peu avant la clôture des travaux du congrès, le président du Conseil pontifical pour les laïcs, Mgr Francis Stafford, a annoncé que plus de 2.500 laïcs libanais participeront à la 12e rencontre des jeunes avec le Saint-Père qui sera organisée à Paris du 14 au 24 août prochains.
Prenant la parole à son tour, le patriarche maronite, le cardinal Nasrallah Sfeir, a improvisé une allocution dans laquelle il a insisté sur l’importance du témoignage chrétien dans une société qui n’est pas totalement chrétienne et sur la solidarité qui doit lier les chrétiens du Liban à ceux des régions environnantes «pour s’intégrer à leur milieu et prouver qu’ils sont réellement chrétiens», a-t-il dit.
Notons enfin que les participants au congrès ont envoyé un télégramme au pape Jean-Paul II pour lui affirmer notamment que cette rencontre constitue une nouvelle impulsion pour les laïcs dans la vie des Eglises du Moyen-Orient.
Rappelons que les participants étaient de différentes nationalités, palestinienne, jordanienne, syrienne, irakienne, chypriote, libanaise et égyptienne.
Le communiqué des laïcs catholiques souligne en particulier la précarité de la situation dans la région, affirmant que celle-ci «oscille entre la paix et la guerre. On peut envisager un nouveau type de relations internationales dans le cadre desquelles les droits et les libertés de l’homme et des peuples seraient plus respectés». Toujours selon le communiqué, une cause essentielle s’impose dans cette terre du Moyen-Orient, en l’occurrence, «la rencontre entre le christianisme, l’islam et le judaïsme, et le dialogue entre les croyants en un seul Dieu» ou encore un «dialogue œcuménique».
Soulignant d’autre part leur détermination à «collaborer étroitement avec le clergé», les participants au congrès se sont engagés à être des «bâtisseurs de ponts pour faciliter la rencontre avec le prochain». «Nous devons aussi nous engager aux niveaux social, culturel et politique dans l’intérêt général de la société, et bâtir avec tous les citoyens une patrie de liberté, respectant les droits de l’homme, des familles et des sociétés sans aucune discrimination», ajoute le communiqué avant de poursuivre: «Nous voulons encore affirmer notre attachement à nos racines et à nos ancêtres, à la culture et aux traditions qui ont fait de nous ce que nous sommes aujourd’hui. Dans cette optique, nous tendons la main à tous nos frères, aux jeunes du Moyen-Orient, en particulier à ceux qui appartiennent aux Eglises-sœurs et aux religions monothéistes (...)», conclut le communiqué.
Par ailleurs, peu avant la clôture des travaux du congrès, le président du Conseil pontifical pour les laïcs, Mgr Francis Stafford, a annoncé que plus de 2.500 laïcs libanais participeront à la 12e rencontre des jeunes avec le Saint-Père qui sera organisée à Paris du 14 au 24 août prochains.
Prenant la parole à son tour, le patriarche maronite, le cardinal Nasrallah Sfeir, a improvisé une allocution dans laquelle il a insisté sur l’importance du témoignage chrétien dans une société qui n’est pas totalement chrétienne et sur la solidarité qui doit lier les chrétiens du Liban à ceux des régions environnantes «pour s’intégrer à leur milieu et prouver qu’ils sont réellement chrétiens», a-t-il dit.
Notons enfin que les participants au congrès ont envoyé un télégramme au pape Jean-Paul II pour lui affirmer notamment que cette rencontre constitue une nouvelle impulsion pour les laïcs dans la vie des Eglises du Moyen-Orient.
Le premier congrès des laïcs catholiques au Moyen-Orient s’est achevé samedi soir par la rédaction d’un communiqué final où les participants aux travaux de cette rencontre ont notamment insisté sur la nécessité d’un dialogue entre les religions monothéistes à savoir le christianisme, l’islam et le judaïsme.Rappelons que les participants étaient de différentes...
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