C’est ce qu’a affirmé hier l’ambassadeur Hussein Adballah qui fut l’ingénieur responsable des projets hydrauliques du Liban et de la Syrie et particulièrement du projet du Litani lors du mandat français.
Dans un communiqué, M. Abdallah a indiqué qu’«une sécheresse telle que celle à laquelle nous devons nous attendre cette année se produit une fois tous les quarante ans. Elle s’était déjà produite en 1956 et elle avait même été précédée, comme cette année, d’un important tremblement de terre».
«Dans des situations pareilles, l’on a alors recours aux eaux souterraines», a ajouté M. Abdallah qui a toutefois mis l’accent sur le fait qu’«au Liban, les eaux souterraines sont mélangées aux eaux usées et des égouts avec tout ce que cela comporte de risques d’épidémies et cela est dû principalement au fait que les puits artésiens sont creusés un peu partout de façon anarchique».
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