Dans un communiqué parvenu jeudi à l’AFP, l’organisation estime que M. Abou Rizk est «un prisonnier de conscience, arrêté en raison de ses activités syndicales non violentes» et demande sa «libération immédiate et sans condition».
Amnesty International, qui s’interroge sur «la légalité de cette arrestation», invite à envoyer des télégrammes au président Elias Hraoui, au premier ministre Rafic Hariri, au ministre de la Justice Bahige Tabbarah et au procureur général Adnan Addoum.
Les plus commentés
Après Bou Saab, Alain Aoun : la démarche de limogeage mise sur les rails
Derrière la visite de Walid Boukhari à Meerab
Le Hamas accepte une proposition de cessez-le-feu qataro-égyptienne, Israël la juge "adoucie et inacceptable" : jour 213 de la guerre de Gaza