Plus de 32 millions d’Iraniens sont appelés aux urnes aujourd’hui pour l’élection présidentielle la plus disputée depuis la révolution islamique de 1979, au terme d’une campagne fiévreuse et tendue.
Quatre candidats se disputent la succession du président sortant Ali-Akbar Hachémi-Rafsandjani, en place depuis huit ans et que la loi empêche de briguer un nouveau mandat.
Le président de la République est le numéro deux du régime iranien derrière l’ayatollah Ali Khamenei, le guide spirituel qui a succédé à l’imam Khomeyni.
Le président conservateur du Parlement Ali-Akbar Nategh-Nouri et l’ancien ministre de la Culture Mohammad Khatami, soutenu par la gauche radicale et les modérés, se livrent une compétition à couteaux tirés.
Bien que les deux hommes appartiennent au sérail politique et ne remettent pas en cause les fondements du régime, les orientations de l’Iran de demain seront largement influencées par le résultat du vote.
Les bureaux de vote doivent ouvrir à 8h heure locale (6h30 heure de Beyrouth) et les résultats ne devraient pas être connus avant samedi ou dimanche. Pour la première fois depuis 1979, un second tour n’est pas exclu.
Depuis plusieurs semaines, les clans se livrent à une intense campagne d’affiches sur les murs des villes et des villages d’Iran, tandis que la presse a pris franchement parti pour l’un ou l’autre postulant.
«On n’a jamais vu un tel enthousiasme. Quel que soit le résultat, les choses ne pourront plus être comme avant», lançait Mohsen, un jeune employé de 28 ans qui, comme d’innombrables personnes, a distribué des tracts et des affichettes dans les rues de Téhéran.
Quelque 200.000 policiers doivent assurer la sécurité des bureaux de vote, et environ 100.000 fonctionnaires ont été mobilisés pour les opérations électorales, a annoncé le ministère de l’Intérieur.
Quatre candidats se disputent la succession du président sortant Ali-Akbar Hachémi-Rafsandjani, en place depuis huit ans et que la loi empêche de briguer un nouveau mandat.
Le président de la République est le numéro deux du régime iranien derrière l’ayatollah Ali Khamenei, le guide spirituel qui a succédé à l’imam Khomeyni.
Le président conservateur du Parlement Ali-Akbar Nategh-Nouri et l’ancien ministre de la Culture Mohammad Khatami, soutenu par la gauche radicale et les modérés, se livrent une compétition à couteaux tirés.
Bien que les deux hommes appartiennent au sérail politique et ne remettent pas en cause les fondements du régime, les orientations de l’Iran de demain seront largement influencées par le résultat du vote.
Les bureaux de vote doivent ouvrir à 8h heure locale (6h30 heure de Beyrouth) et les résultats ne devraient pas être connus avant samedi ou dimanche. Pour la première fois depuis 1979, un second tour n’est pas exclu.
Depuis plusieurs semaines, les clans se livrent à une intense campagne d’affiches sur les murs des villes et des villages d’Iran, tandis que la presse a pris franchement parti pour l’un ou l’autre postulant.
«On n’a jamais vu un tel enthousiasme. Quel que soit le résultat, les choses ne pourront plus être comme avant», lançait Mohsen, un jeune employé de 28 ans qui, comme d’innombrables personnes, a distribué des tracts et des affichettes dans les rues de Téhéran.
Quelque 200.000 policiers doivent assurer la sécurité des bureaux de vote, et environ 100.000 fonctionnaires ont été mobilisés pour les opérations électorales, a annoncé le ministère de l’Intérieur.
Plus de 32 millions d’Iraniens sont appelés aux urnes aujourd’hui pour l’élection présidentielle la plus disputée depuis la révolution islamique de 1979, au terme d’une campagne fiévreuse et tendue.Quatre candidats se disputent la succession du président sortant Ali-Akbar Hachémi-Rafsandjani, en place depuis huit ans et que la loi empêche de briguer un nouveau...
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