Le conseil politique des «Forces libanaises» à l’extérieur a accusé hier, dans un communiqué publié à Londres, les autorités libanaises de se servir de la visite de Jean-Paul II pour «cacher au monde leur véritable visage odieux».
«Il n’est pas étonnant de la part d’un pouvoir qui a œuvré à empêcher depuis 1994 la visite du Pape de cacher son véritable visage odieux au Saint-Père et au monde», ont affirmé les FL dans un communiqué faxé à «L’Orient-Le Jour».
Les FL saluent la visite du souverain pontife et se disent convaincues de «la profonde compréhension du pape de la situation intérieure» au Liban. Elles estiment que sa visite marque «une limite claire entre l’indépendance et la servitude, la souveraineté et la dépendance, l’injustice et la justice».
Le texte indique que la troisième sentence prononcée vendredi contre Samir Geagea témoignait de «la poursuite de la politique de répression exercée contre une catégorie de citoyens, de l’effondrement des institutions et de leur totale inféodation au pouvoir».
«Il n’est pas étonnant de la part d’un pouvoir qui a œuvré à empêcher depuis 1994 la visite du Pape de cacher son véritable visage odieux au Saint-Père et au monde», ont affirmé les FL dans un communiqué faxé à «L’Orient-Le Jour».
Les FL saluent la visite du souverain pontife et se disent convaincues de «la profonde compréhension du pape de la situation intérieure» au Liban. Elles estiment que sa visite marque «une limite claire entre l’indépendance et la servitude, la souveraineté et la dépendance, l’injustice et la justice».
Le texte indique que la troisième sentence prononcée vendredi contre Samir Geagea témoignait de «la poursuite de la politique de répression exercée contre une catégorie de citoyens, de l’effondrement des institutions et de leur totale inféodation au pouvoir».
Le conseil politique des «Forces libanaises» à l’extérieur a accusé hier, dans un communiqué publié à Londres, les autorités libanaises de se servir de la visite de Jean-Paul II pour «cacher au monde leur véritable visage odieux».«Il n’est pas étonnant de la part d’un pouvoir qui a œuvré à empêcher depuis 1994 la visite du Pape de cacher son véritable visage...
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