C’est ce qu’a déclaré M. Elias Abou-Rizk, président de la CGTL, à l’issue d’une entrevue qu’il a eue hier avec le patriarche maronite, le cardinal Nasrallah Sfeir.
M. Abou-Rizk a fait état de manœuvres auxquelles l’autorité a recours pour faciliter l’élection de syndicats «dont l’allégeance lui est acquise» et bloquer celle des syndicats «dont l’indépendance continue à défier la volonté d’hégémonie du ministère».
M. Abou-Rizk, qui a affirmé que les élections de la centrale syndicale auront lieu à la date prévue, a précisé que «le dialogue avec le gouvernement n’existe pas» et que «le président du Conseil M. Rafic Hariri a refusé plus de deux fois de lui fixer un rendez-vous».
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