«La mission du comité de surveillance du cessez-le-feu d’avril 1996 est technique et non pas politique».
C’est ce qu’a affirmé hier le délégué US au sein du comité, M. David Greenlee, à l’issue d’entretiens qu’il a eus, en compagnie de l’ambassadeur des Etats-Unis, M. Richard Jones, avec le chef de l’Etat, M. Elias Hraoui, à Baabda, puis avec le président de l’Assemblée nationale, M. Nabih Berry.
Ces entretiens sont intervenus à quelques jours de la prise en charge par les USA de la présidence du comité, le 1er mai prochain.
Après s’être abstenu de toute déclaration à l’issue de l’entretien avec le président de la République, M. Jones a qualifié l’entretien avec M. Berry de «bon» et s’est excusé auprès des journalistes accrédités à la présidence de la République de n’avoir pas répondu à leurs questions «par manque de temps».
Quant à M. Greenlee, il a qualifié la mission de «limitée et en rapport avec l’application de l’arrangement du 26 avril». «A ce niveau, nous avons été productifs et je crois que la situation des différentes parties sur le terrain a changé. Il reste que nous ne pouvons avoir une influence directe au niveau de la suspension des actions militaires car cela n’est pas dans nos prérogatives», a-t-il ajouté.
En réponse à une question, M. Greenlee a exclu la possibilité d’un changement de la nature de la mission du comité de surveillance.
C’est ce qu’a affirmé hier le délégué US au sein du comité, M. David Greenlee, à l’issue d’entretiens qu’il a eus, en compagnie de l’ambassadeur des Etats-Unis, M. Richard Jones, avec le chef de l’Etat, M. Elias Hraoui, à Baabda, puis avec le président de l’Assemblée nationale, M. Nabih Berry.
Ces entretiens sont intervenus à quelques jours de la prise en charge par les USA de la présidence du comité, le 1er mai prochain.
Après s’être abstenu de toute déclaration à l’issue de l’entretien avec le président de la République, M. Jones a qualifié l’entretien avec M. Berry de «bon» et s’est excusé auprès des journalistes accrédités à la présidence de la République de n’avoir pas répondu à leurs questions «par manque de temps».
Quant à M. Greenlee, il a qualifié la mission de «limitée et en rapport avec l’application de l’arrangement du 26 avril». «A ce niveau, nous avons été productifs et je crois que la situation des différentes parties sur le terrain a changé. Il reste que nous ne pouvons avoir une influence directe au niveau de la suspension des actions militaires car cela n’est pas dans nos prérogatives», a-t-il ajouté.
En réponse à une question, M. Greenlee a exclu la possibilité d’un changement de la nature de la mission du comité de surveillance.
«La mission du comité de surveillance du cessez-le-feu d’avril 1996 est technique et non pas politique».C’est ce qu’a affirmé hier le délégué US au sein du comité, M. David Greenlee, à l’issue d’entretiens qu’il a eus, en compagnie de l’ambassadeur des Etats-Unis, M. Richard Jones, avec le chef de l’Etat, M. Elias Hraoui, à Baabda, puis avec le président de...
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