M. Hoss, qui était hier l’hôte à déjeuner de l’archevêque maronite de Beyrouth, Mgr Boulos Matar, en compagnie du ministre d’Etat Michel Eddé, était interrogé par les journalistes sur ces deux questions.
«Je déplore le report des municipales, d’autant que j’étais l’un de ceux qui ont appelé à leur tenue dans les délais initialement prévus et j’ai exprimé cette position lors du vote à la Chambre», a déclaré M. Hoss.
En réponse à une question, il a souligné qu’il s’agissait d’un «report» et non d’une «annulation» car, selon lui, «personne ne peut annuler les élections».
L’ancien premier ministre a également exprimé ses «regrets» à la suite de la démission de M. Mallat et souhaité que ce dernier revienne sur sa décision. «S’il y a des pressions sur le Conseil constitutionnel, nous nous y opposons et nous l’appelons à y faire face».
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