Après le président de la commission parlementaire de la Défense, M. Sami Khatib, c’était hier au tour du procureur général près la Cour d’appel de Beyrouth, M. Abdallah Bitar, de parler des résultats du congrès sur le crime économique qui s’est tenu la semaine dernière à Nicosie, sur une initiative de l’ambassade américaine de Beyrouth.
En effet, pendant cinq jours, des responsables politiques, sécuritaires et judiciaires du Liban, de la Syrie, d’Egypte, de Chypre et des Etats-Unis ont discuté de la lutte contre les crimes financiers, notamment la falsification des billets de banques, des chèques et des cartes de crédit. Le Liban y était représenté par 32 personnes dont 5 magistrats (notamment M. Bitar et le procureur général financier M. Ahmed Takieddine) ainsi que sept officiers de la sécurité et d’Interpol, de nombreux banquiers et deux députés, M. Khatib et M. Mansour el-Bone.
Selon M. Bitar, il y avait parmi les congressistes, des experts américains en matière de falsification financière. Ceux-ci ont lu aux présents des rapports établis sur tout ce qui touche à la fraude fiscale et notamment sur les nouvelles technologies utilisées par les fraudeurs.
Il s’agissait surtout, a expliqué M. Bitar, de mettre les expériences en commun afin de définir les procédés sophistiqués de falsification, pour pouvoir mieux les combattre. C’est d’autant plus important pour les Etats-Unis que la grande mafia de fabrication de faux dollars semble puissante dans les pays conviés à ce congrès. D’ailleurs la présence américaine y était très remarquée, puisqu’en plus des officiers de la douane et de la Sûreté générale, il y avait aussi le procureur général fédéral et celui de l’Etat de New York.
M. Abdallah Bitar a précisé que ce congrès vise à resserrer la coopération entre les pays qui y ont participé, afin de lutter plus efficacement contre la fraude sous toutes ses formes. D’autant que ce genre de trafic constitue une véritable menace pour l’économie des pays concernés.
Selon M. Bitar, le congrès a aussi parlé du trafic de drogue et des moyens de le combattre, ainsi que de l’indispensable coopération entre les pays concernés afin de capturer les coupables et de les extrader si nécessaire. Il a été finalement convenu de multiplier ce genre de rencontres.
En effet, pendant cinq jours, des responsables politiques, sécuritaires et judiciaires du Liban, de la Syrie, d’Egypte, de Chypre et des Etats-Unis ont discuté de la lutte contre les crimes financiers, notamment la falsification des billets de banques, des chèques et des cartes de crédit. Le Liban y était représenté par 32 personnes dont 5 magistrats (notamment M. Bitar et le procureur général financier M. Ahmed Takieddine) ainsi que sept officiers de la sécurité et d’Interpol, de nombreux banquiers et deux députés, M. Khatib et M. Mansour el-Bone.
Selon M. Bitar, il y avait parmi les congressistes, des experts américains en matière de falsification financière. Ceux-ci ont lu aux présents des rapports établis sur tout ce qui touche à la fraude fiscale et notamment sur les nouvelles technologies utilisées par les fraudeurs.
Il s’agissait surtout, a expliqué M. Bitar, de mettre les expériences en commun afin de définir les procédés sophistiqués de falsification, pour pouvoir mieux les combattre. C’est d’autant plus important pour les Etats-Unis que la grande mafia de fabrication de faux dollars semble puissante dans les pays conviés à ce congrès. D’ailleurs la présence américaine y était très remarquée, puisqu’en plus des officiers de la douane et de la Sûreté générale, il y avait aussi le procureur général fédéral et celui de l’Etat de New York.
M. Abdallah Bitar a précisé que ce congrès vise à resserrer la coopération entre les pays qui y ont participé, afin de lutter plus efficacement contre la fraude sous toutes ses formes. D’autant que ce genre de trafic constitue une véritable menace pour l’économie des pays concernés.
Selon M. Bitar, le congrès a aussi parlé du trafic de drogue et des moyens de le combattre, ainsi que de l’indispensable coopération entre les pays concernés afin de capturer les coupables et de les extrader si nécessaire. Il a été finalement convenu de multiplier ce genre de rencontres.
Après le président de la commission parlementaire de la Défense, M. Sami Khatib, c’était hier au tour du procureur général près la Cour d’appel de Beyrouth, M. Abdallah Bitar, de parler des résultats du congrès sur le crime économique qui s’est tenu la semaine dernière à Nicosie, sur une initiative de l’ambassade américaine de Beyrouth.En effet, pendant cinq jours,...
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