Le secrétaire général de l’Ordre des ingénieurs, M. Hikmat Dib, un des principaux responsables du courant aouniste, ainsi que douze autres partisans du général Michel Aoun, ont été condamnés à de légères peines de prison pour distribution de tracts «appelant à la sédition et portant atteinte aux relations avec un pays ami», en l’occurrence la Syrie.
Le jugement a été rendu tard dans la nuit de mercredi à jeudi par le tribunal militaire. M. Dib a été condamné à trois semaines de prison, Hoda Yammine et Fady Baroud à 15 jours et Lina Ghorayeb, Aleftarios Atanassio, Mona Chkeibane, Antoine Sacre, Checrallah Salamé, Michel Bounassar et Charbel Chehwane à 10 jours. Mansour Sfeir doit purger un mois en prison contre un mois et demi pour Naaman Antoun et Emile Hachem.
Le tribunal, présidé par le brigadier Zeid Halawi, a par ailleurs condamné par contumace José Afif à un an de prison et Jean Abi Raad à 3 mois pour distribution de tracts «portant atteinte à la réputation de l’armée et collaboration avec l’ennemi».
Durant l’audience qui s’est ouverte en début de soirée, en présence du commissaire adjoint près le tribunal militaire, M. Myassar Chakar, les avocats de la défense ont soutenu que cette affaire ne relève pas de la compétence du tribunal dans la mesure où elle est politique.
L’affaire des tracts, rappelle-t-on, remonte à septembre 1994.
Le jugement a été rendu tard dans la nuit de mercredi à jeudi par le tribunal militaire. M. Dib a été condamné à trois semaines de prison, Hoda Yammine et Fady Baroud à 15 jours et Lina Ghorayeb, Aleftarios Atanassio, Mona Chkeibane, Antoine Sacre, Checrallah Salamé, Michel Bounassar et Charbel Chehwane à 10 jours. Mansour Sfeir doit purger un mois en prison contre un mois et demi pour Naaman Antoun et Emile Hachem.
Le tribunal, présidé par le brigadier Zeid Halawi, a par ailleurs condamné par contumace José Afif à un an de prison et Jean Abi Raad à 3 mois pour distribution de tracts «portant atteinte à la réputation de l’armée et collaboration avec l’ennemi».
Durant l’audience qui s’est ouverte en début de soirée, en présence du commissaire adjoint près le tribunal militaire, M. Myassar Chakar, les avocats de la défense ont soutenu que cette affaire ne relève pas de la compétence du tribunal dans la mesure où elle est politique.
L’affaire des tracts, rappelle-t-on, remonte à septembre 1994.
Le secrétaire général de l’Ordre des ingénieurs, M. Hikmat Dib, un des principaux responsables du courant aouniste, ainsi que douze autres partisans du général Michel Aoun, ont été condamnés à de légères peines de prison pour distribution de tracts «appelant à la sédition et portant atteinte aux relations avec un pays ami», en l’occurrence la Syrie.Le jugement a...
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